L’Occident connaît la musique
Jean-Loup Amselle

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L’éthique de l’intelligence artificielle expliquée à mon fils
Enrico Panaï

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Épistoenologie
Nicola Perullo

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Sous les remparts de Jérusalem
Tano D'Amico

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  • Au prisme des écrans

    C’est surtout au prisme des écrans que nous pouvons accéder, de nos jours, à la réalité complexe et changeante dans laquelle nous vivons, affectée par les conséquences de la crise sanitaire et celles de la crise climatique, ainsi que par les innovations introduites par les technologies numériques telles que les intelligences artificielles génératives. –> Sommaire (.PDF)
    28,00
  • Pensées sur la véritable évaluation des forces vives

    « Nous sommes au centre de la plus belle tâche que la Mécanique abstraite ait jamais pu offrir jusqu’à présent. (§. 134) ». Les Gedanken de 1746 (1749) représentent le premier moment synthétique de la spéculation kantienne. La célèbre querelle des forces vives, occasionnée par Leibniz en 1686 à l’encontre de la philosophie cartésienne autour du thème de la conservation de la quantité de mouvement, y est abordée. –> Sommaire (.PDF)
    24,00
  • Jeux et récits d’enfance selon Walter Benjamin

    Le thème de l’enfance est central dans l’œuvre de Walter Benjamin. Il s’est intéressé aux jeux des enfants, à leurs jouets et à leurs livres. Il a aussi réalisé des émissions radiophoniques. Il connaissait bien les travaux de ses contemporains sur la psychanalyse, la psychologie et l’éducation. Il a été, en particulier, un grand lecteur de Freud. Ces intérêts ont convergé dans les années 1930 vers sa propre enfance avec ses écrits autobiographiques. Dans ses derniers travaux, l’enfant reste une figure très investie. Cet ouvrage montre comment Benjamin se représente le jeu de l’enfant et comment il raconte son enfance. Son objectif est de favoriser la réception de ses idées pour les cliniciens et les psychanalystes d’enfants, d’adolescents et d’adultes mais aussi pour tous les lecteurs qui s’intéressent à l’enfance, au jeu, à la mémoire et à l’histoire. –> Sommaire (.PDF)
    18,00
  • Le cinéma burlesque, une autre origine du surréalisme

    « Allons, un peu plus d’humour, que diable ! », s’exclame Aragon dans Le Con d’Irène. Une exhortation similaire pourrait être lancée à propos de l’histoire du surréalisme. Jusqu’ici, les origines du surréalisme ont surtout été explorées à travers la découverte de Freud et de l’inconscient, ou par le prisme des grandes figures poétiques qui l’ont précédé. Ce livre propose une autre perspective : celle du cinéma burlesque. Les films de Chaplin, Keaton, Lloyd & Cie ont agi comme un « excitant » sur Aragon, Breton, Desnos et les autres et ont mis en mouvement leur imagination, leur écriture et même leur corps. Jusqu’à les conduire à créer le surréalisme. –> Sommaire (.PDF)
    38,00
  • La détermination du soi néantisé et autoéveillé

    La Détermination du soi néantisé et autoéveillé est en tout point impressionnant. Cet ouvrage est le reflet de l’état de maturation de la philosophie de l’auteur en 1932. Le thème de la détermination et ses quatre significations constituent les rouages internes qui garantissent l’agencement et le développement harmonieux de la variété de concepts mise en œuvre par Nishida lors de la deuxième période de sa pensée (1923-1933). –> Sommaire (.PDF)
    28,00
  • L’écran des siècles

    Si Gilles Deleuze ouvre son diptyque consacré au cinéma, constitué de L’Image-mouvement et de L’Image-temps, en insistant sur le fait qu’il n’écrit pas ici une « histoire » du septième art mais plutôt « une taxinomie, un essai de classification des images et des signes », il a souvent été souligné combien c’est un événement historique qui paraît servir d’articulation entre les deux tomes et les régimes d’images correspondants. –> Sommaire (.PDF)
    28,00
  • L’Occident connaît la musique

    La musique occidentale et en particulier la musique dite « classique » – à l’instar de la philosophie, également occidentale – est un élément essentiel d’affirmation de la prétendue supériorité de l’Occident sur les autres parties du monde. Ce résultat étant obtenu en rejetant dans une extériorité, une infériorité ou une spécificité radicales ce que l’on pourrait dénommer, en s’inspirant de l’appellation autrefois accolée aux sociétés exotiques, les musiques « sans écriture ». Ces musiques orales et improvisées sont appropriées à la fois par l’ethnomusicologie et les musiques du monde. –> Sommaire (.PDF)
    16,00
  • Cinématérialismes

    Cet ouvrage collectif explore les points de contact existant entre le cinéma et les traditions historiques et philosophiques du matérialisme. Les articles réunis proposent de réinscrire la description de la matière visuelle et so¬nore des images dans un travail critique qui prendrait en compte la dimension socio-politique des formes de production – tech¬niques, économiques, écologiques – des œuvres. –> Sommaire (.PDF)
    28,00
  • Pour une anthropologie de l’empreinte

    Cet ouvrage à l’iconographie inédite propose une approche cognitive et phénoménologique des empreintes lato sensu : à la fois les traces réelles laissées par les hommes ou les animaux, mais aussi les empreintes dites « merveilleuses », généralement des signes pédiformes sur supports lithiques. Un parcours passionnant à travers les continents, les civilisations, les époques et les pratiques, des déserts africains au bitume de nos villes. –> Sommaire (.PDF)
    26,00
  • « Le vin n’est pas un objet à mesurer, mais une rencontre à réaliser ».

    Jeudi 5 décembre à 14h, venez rencontrer l’auteur Nicola Perullo autour de son ouvrage « Epistœnologie », en conversation avec Luca Marchetti.…

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    Éditions Mimésis
  • Conférence de présentation du livre L’OCCIDENT CONNAÎT LA MUSIQUE

    Lundi 2 décembre à 20h Salle Berlioz, Saint.Michel.Sur-Orge Conférence de présentation du livre L’OCCIDENT CONNAÎT LA MUSIQUE avec JEAN-LOUP AMSELLE

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    Éditions Mimésis