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1-24 of 408 products

  • Cinématérialismes

    Cet ouvrage collectif explore les points de contact existant entre le cinéma et les traditions historiques et philosophiques du matérialisme. Les articles réunis proposent de réinscrire la description de la matière visuelle et so¬nore des images dans un travail critique qui prendrait en compte la dimension socio-politique des formes de production – tech¬niques, économiques, écologiques – des œuvres. –> Sommaire (.PDF)
    28,00
  • Pour une anthropologie de l’empreinte

    Cet ouvrage à l’iconographie inédite propose une approche cognitive et phénoménologique des empreintes lato sensu : à la fois les traces réelles laissées par les hommes ou les animaux, mais aussi les empreintes dites « merveilleuses », généralement des signes pédiformes sur supports lithiques. Un parcours passionnant à travers les continents, les civilisations, les époques et les pratiques, des déserts africains au bitume de nos villes. –> Sommaire (.PDF)
    26,00
  • Le cinéma des formes furtives

    La surveillance ne cesse de générer de nouvelles images. Des portraits d’identité à la reconnaissance faciale, de la vidéosurveillance à la lecture des empreintes digitales, les modalités du regard surveillant sont nombreuses et en renouvellement permanent. –> Sommaire (.PDF)
    28,00
  • Perception et apparition du monde

    C’est aujourd’hui devenu une évidence, tant en philosophie qu’en sciences cognitives : le monde est quelque chose dont nous – « sujet percevant » – faisons « l’expérience », quelque chose qui apparait « à notre conscience », et à quoi la perception, d’une façon ou d’une autre, nous « donne accès ». Cet ouvrage, marqué par la radicalité du geste phénoménologique, se propose de déconstruire ce truisme subjectiviste, et développe une nouvelle approche – narrative et dramaturgique – de l’apparaître perceptif centrée sur les concepts d’histoire et de situation. Le sujet, par la perception, n’« accède » pas au monde, il n’en prend pas connaissance ou « conscience ». La perception raconte une histoire, qu’elle porte au phénomène. Le « sujet » – comme n’importe quel apparaissant – fait partie de cette histoire, en constitue même le principal « objet ». C’est par ce modus operandi – cette opération de mise en situation narrative – que la perception assure sa fonction de présentation, fait apparaitre le monde et nous y introduit. –> Sommaire (.PDF)
    30,00
  • L’histoire sans fin de la fin de l’Histoire, de la fin de l’art et de son histoire

    Depuis bien longtemps philosophes et historiens de l’art, essentiellement en Occident, ont réfléchi sur une même problématique : la fin de l’histoire, et la fin de l’art. Ces deux moments ne sont pas toujours traités ensemble, mais ils ne peuvent être pensés séparément, même s’il faut les distinguer. De nombreux auteurs ont d’ailleurs souvent compris et interprété l’un par l’autre. –> Sommaire (.PDF)
    24,00
  • Objets vivants 2

    L’humain doit-il continuer à se penser comme étant la mesure de toute chose, sous l’emprise – encore et toujours – d’un fantasme de toute-puissance ? Peut-il encore se considérer comme le maître du vivant ? Ou, peut-être, pouvons-nous envisager le dépassement de l’irréductible opposition entre vivant et objet, en prenant en considération des connexions immanentes entre matière et vie ? –> Sommaire (.PDF)
    22,00
  • Pouvoir destituant

    Qu’est-ce que le pouvoir destituant ? Le pouvoir destituant est une notion ouverte, fatalement ambiguë, insaisissable et destinée à se former au fur et à mesure des événements. Il défait la souveraineté, les hiérarchies, les formes de possession, les relations cimentées par la nécessité, il dynamite toutes les identités, même celles qui font de la différence, sans le savoir, leur identité. –> Sommaire (.PDF)
    20,00
  • Cartes invisibles

     « Invisible il y a bien dans la carte, toujours, comme du reste dans toute image : un invisible fondamental qui en déconstruit l’illusoire transparence, un invisible paradoxal aussi, s’agissant d’un objet dont la nature même est de montrer. Toutefois, si ce paradoxe est l’apanage de toute carte, il en est de nature particulière qui redoublent ce jeu d’équivoque entre clarté et opacité de l’image. » 
    C’est ce paradoxe cartographique que le présent ouvrage entend interroger, à travers le prisme de la littérature et du cinéma. Aux cartes proprement invisibles – restées dans les coulisses de la création – répond l’invisibilité caractérisant l’image qu’est la carte en tant que telle : ses zones d’ombre, ses points aveugles, parfois sciemment orchestrés à des fins politiques. Mais à tout pouvoir, son contre-pouvoir, comme le montre l’émergence récente d’une cartographie alternative et engagée visant à rendre justice à des acteurs ou à des phénomènes invisibilisés par le corps social. Les quatorze contributions composant ce volume explorent ainsi les différentes facettes (géographiques, esthétiques, politiques) de l’énigme posée au regard par ce qui, dans l’image censée capturer le réel, se dérobe à elle.
    –> Sommaire (.PDF)
    26,00
  • Devenir hétéronomes

    La volonté d’imaginer les mondes de l’après-modernité dans le contexte actuel de désastre écologique n’est pas nouvelle. Il est rare, pourtant, qu’elle se hasarde à contester le rêve d’émancipation et d’autonomie du sujet moderne, quand elle ne cherche pas à le préserver à tout prix. –> Sommaire (.PDF)
    12,00
  • Projet de système philosophique

    Dans ce premier des sept volumes des Essais philosophiques, publié au Japon en 1935, Nishida procède à l’établissement d’un système philosophique qui décrit avec une précision remarquable la structure du monde de la réalité historique, c’est-à-dire la structure du monde dialectique. Celui-ci est le fondement permettant de comprendre la nature de l’expérience, des sciences et de la société. L’intérêt principal de ce volume par rapport aux précédents réside dans le fait que, dans le but d’exposer sa pensée de manière ordonnée, concise et d’en faciliter l’accès, Nishida fournit ici une série « d’explications schématiques » qui illustrent de manière extrêmement précise le contenu philosophique exposé. –> Sommaire (.PDF)
    22,00
  • L’éthique de l’intelligence artificielle expliquée à mon fils

    Un essai comme un roman. Un dialogue animé entre un père, éthicien de l’IA, et son fils, curieux et passionné. Un soir, à la maison, tout en préparant de délicieuses pâtes, le père et le fils explorent ensemble les thèmes de la confiance et des risques dans le domaine de l’IA, réfléchissant sur la profession à la fois ancienne et innovante d’éthicien. Leur échange est enrichi par l’intervention d’un oncle excentrique, dont l’éloquence étrange et l’approche zen ouvrent de nouvelles perspectives sur la morale. Tous les ingrédients sont réunis, dans un bon équilibre, afin de rendre possible la compréhension des enjeux de l’éthique de l’AI. Et surtout, pour comprendre que la philosophie ne cherche pas à réduire l’incertitude avec des solutions universelles, mais plutôt à naviguer dans cette zone grise, en prenant en compte l’incertitude, sans chercher à la détruire artificiellement. –> Sommaire (.PDF)
    14,00
  • Épistoenologie

    On peut philosopher à tout propos et avec tout. Ce livre propose de philosopher avec le vin, où le « avec » – « ensemble », mais aussi « par » le vin – ouvre à la conscience (cum-scientia) à l’éveil, à la compassion, à la connivence et à la communication. En remettant en question la manière conventionnelle et moderne d’apprécier le vin, basée sur l’analyse sensorielle et la segmentation, à l’imitation de la méthode scientifique analytique, une voie alternative est proposée qui emprunte les chemins d’un relationnalisme radical. Le vin devient ainsi le paradigme d’une expérience relationnelle comme regard de biais, une perception haptique en sympathie avec le monde dans lequel nous sommes immergés. Cette approche sensibilise ainsi l’attention et l’écoute, renforce l’imagination, éduque la perception dans un sens créatif et nous rend responsables des choix que nous faisons. –> Sommaire (.PDF)
    20,00
  • L’exception grecque

    Y a-t-il eu un « miracle grec » ? Les représentations classiques sont complètement dépassées, mais le paradoxe est toujours là : comment une société peu pourvue en ressources naturelles a-telle pu mettre en place aussi vite ce qui allait être le socle de l’Occident ? La brièveté du « miracle » occulte l’histoire longue qui permet de le comprendre. Dès l’âge du bronze, la Grèce a été le pivot qui a fait entrer le continent européen dans l’histoire. Dans cette mondialisation capitale, les Grecs deviennent les fournisseurs de métal de l’Égypte et du Proche-Orient. C’est en gérant cette activité de technologie et de transports maritimes, alors même que leur terre est très pauvre, qu’ils vont découvrir leur voie singulière, qui va devenir la nôtre. –> Sommaire (.PDF)
    22,00
  • Pédagogie de l’expérience esthétique et de l’expérimentation en art

    L’éducation est au cœur d’un problème politique majeur : comment guider les élèves vers l’autonomie et la réalisation d’eux-mêmes, tout en les menant à agir sur le monde et la vie sociale ? C’est ici que prennent place les théories de l’éducation nouvelle, lesquelles ont pour point commun l’expérience croisée et solidaire de l’enseignant et de l’apprenant, la pratique comme source d’appropriation du savoir et de toute transmission. –> Sommaire (.PDF)
    28,00
  • Claude-François-Parfait Boutin en Inde et aux Mascareignes (1782-1786)

    On s’interroge beaucoup, ces temps-ci, sur deux différents champs historiographiques de la période moderne : d’une part celui de l’histoire de la présence française aux Indes orientales pendant la deuxième moitié du XVIIIe siècle, et d’autre part celui de la rivalité franco-britannique à l’échelle mondiale. –> Sommaire (.PDF)
    22,00
  • La signature

    La musique de « création », parfois appelée musique « d’art » et autrefois identifiée comme musique « savante », traverse une crise profonde. Ce texte se veut à la fois un manifeste, une critique constructive et une réponse possible à la crise identitaire de la musique de recherche. La première partie est une analyse sociologique, systémique, technologique et épistémologique de cette crise que l’intelligence artificielle a accélérée. La seconde partie propose douze pistes pour sortir de cette impasse. –> Sommaire (.PDF)
    40,00
  • Philosophie avec personnages

    La philosophie politique s’en est longtemps tenue à la recherche du meilleur régime possible, sous la forme du traité. Cette histoire prescriptive n’est cependant que la plus visible. À côté des concepts abstraits et généralisants, une tendance plus discrète existe, qui incarne la théorie. Les fictions politiques sont une clef pour qui ne veut pas en rester à l’analyse des strates institutionnelles. Loin d’être un simple réservoir d’exemples et de cas, le fictionnalisme politique a une fonction épistémique. Mythes, fables, incursions littéraires sont la matière d’une réflexion qui analyse autant qu’elle invente le politique. L’imagination philosophique utilise des personnages conceptuels, qui introduisent à la singularité et à la nuance. L’île, le partisan, Robinson Crusoé ou Benito Cereno, mais aussi Lénine ou Lawrence d’Arabie, peuplent le protagonisme de Haim Burstin, le politique selon Carl Schmitt, le Léviathan de Carlo Ginzburg, l’agora par Hannah Arendt ou le droit de la guerre de Michael Walzer. Cette perspective renouvelle la question du réalisme politique et met en lumière ce que la philosophie doit aux images et à la création. –> Sommaire (.PDF)
    22,00
  • Science et conscience

    Les femmes et les hommes qui ont choisi la science comme but de leur vie aiment se penser totalement libres d’obligations vis-à-vis de la société. Au point de vue moral, ils considèrent la science comme une valeur en elle-même et, de ce fait, neutre en ce qui concerne ses implications sociales et ses conséquences éthiques et politiques. Dans l’antiquité, on sait qu’Archimède a participé à la résistance de Syracuse, lors du siège des Romains, en concevant ses « miroirs de feu ». Mais après la capitulation, il a brûlé les notes où il avait consigné le mode de fabrication de son invention. En revanche Enrico Fermi, dès qu’il parvient à la scission contrôlée de l’atome, débarque à Chicago et télégraphe au Président des États-Unis : « Le navigateur italien est arrivé. Il attend instructions ». La neutralité morale et sociale de la science est évidemment impossible. Il se peut que, après Hiroshima et Nagasaki, les « Dissenting Colleges » se multiplient. À l’heure actuelle, l’humanité n’a pas d’assurance contre son anéantissement. –> Sommaire (.PDF)
    10,00
  • Le royaume des ombres

    La philosophie classique allemande s’est souvent interrogée sur la ligne de partage entre l’occulte et le visible, en mettant à l’œuvre les concepts de « royaume des ombres » (Schattenreich) et de « royaume des esprits » (Geisterreich). Ce livre retrace les permanences et les variables d’une ligne textuelle « mineure » qui s’est déroulée dans la pensée du XIXe siècle. À cette généalogie appartient aussi l’interprétation psychanalytique des figures diaboliques et des fantasmagories, considérées par Freud comme expressions de l’inquiétante étrangeté de la mort dans son rapport paradoxal avec la vie. La déconstruction de ce réseau met en lumière une « logique de la revenance » qui structure le discours philosophique de la Klassik et de la psychanalyse. Cette logique conduit à la définition de la « spectralité » comme l’entrelacs du visible et de l’invisible, et explique son rôle crucial dans l’esthétique moderne. –> Sommaire (.PDF)
    24,00
  • Le cinéma taiwanais

    Peut-il exister un cinéma national pour une nation qui n’est pas reconnue comme telle ? C’est la question à laquelle cet ouvrage se propose de répondre, dans le cas de Taiwan. Une île où le cinéma a été importé dans un contexte de colonisation par le Japon (1895-1945), où il s’est par la suite développé, après-guerre, sous le contrôle d’un gouvernement autoritaire, nouvellement arrivé, celui des nationalistes chinois menés par Chiang Kai-shek. Comment, alors, appréhender le cinéma taiwanais ? –> Sommaire (.PDF)
    20,00
  • Gorgias

    « Gorgias est celui qui a définitivement caractérisé, au moins dans ses lignes essentielles, notre style. De même que la tragédie grecque constitua le moule définitif dans lequel pour ainsi dire se cristallisa l’art dramatique […], de même la forme essentiellement gorgienne d’articuler la pensée est devenue le moule définitif et intangible dans lequel la pensée occidentale s’est jusqu’à maintenant formée. »« Gorgias est celui qui a définitivement caractérisé, au moins dans ses lignes essentielles, notre style. De même que la tragédie grecque constitua le moule définitif dans lequel pour ainsi dire se cristallisa l’art dramatique […], de même la forme essentiellement gorgienne d’articuler la pensée est devenue le moule définitif et intangible dans lequel la pensée occidentale s’est jusqu’à maintenant formée. »

    Avec un essai de Amedeo Vigorelli Édition établie et présentée par Francesca Salvarezza

    –> Sommaire (.PDF)
    15,00
  • Projection/Protection

    La Fantasmagorie de la fin du XVIII e siècle, les palais du cinéma des années 1920 ou encore les images provenant de nos ordinateurs construisent des bulles physiques ou mentales qui nous servent de refuge. Le postulat de Francesco Casetti se veut provocateur : les écrans qui font partie de notre quotidien depuis plus de deux siècles ne sont finalement pas des extensions de notre vue, mais des formes de protection par rapport à un monde qui se révèle constamment menaçant. La nécessité de se détacher du contexte immédiat, au moyen d’une zone de sécurité qui nous rattache à la réalité par le filtre des images, répondrait à ce besoin de défense. Mais protéger signifie aussi étouffer et limiter, et fait souvent ainsi advenir une autre forme de violence. C’est seulement par le biais d’une nouvelle sensibilité, ouverte aux risques du monde, et non contrainte par nos propres peurs, que l’on pourra rétablir un dialogue productif avec la réalité. –> Sommaire (.PDF)
    22,00
  • Sous les remparts de Jérusalem

    Démonisés, différents, expatriés ou enfermés dans des pansde terre meurtrie, les Palestiniens sont apparus au regard des Occidentaux dans le tumulte des évènements, dans un contextede lutte, de résistance active, sinon de véritable guerre. Cemouvement frénétique et effrayant, en revanche, se calme dansles photographies de Tano d’Amico. Elles cueillent l’existence quotidienne de ces hommes, de ces femmes et ces enfants. Tandis que gronde l’Histoire avec sa violence, ses menaces etses dangers, les moments de vie saisis par les clichés de Tanonous apparaissent comme suspendus dans l’instant d’un soupir, et ceci néanmoins pour toujours. Alors que ces hommes, deces femmes et ces enfants sont peut-être morts aujourd’hui. Accompagnées de poésies des plus grands auteurs palestiniens, les photos proposées dans ce livre nous racontent le quotidien, labeauté et la douleur d’un peuple. Une douleur qui est restée troplongtemps ignorée, atrocement accrue chaque jour à présent. –> Sommaire (.PDF)
    13,00
  • L’art en mode emploi

    Ce texte, qui met en relation réflexion théorique et création artistique, entend comprendre pourquoi au cours de la contemplation d’une œuvre d’art notre attention dépasse rarement ses qualités formelles, esthétiques ou conceptuelles. Contrairement à d’autres artefacts que nous rencontrons au quotidien, nous identifions les œuvres d’art au fait qu’elles ne satisfont pas des fins utilitaires. Leur place dans le musée ou la galerie en atteste et conduit à faire en sorte qu’elles n’ont pas d’autre rôle que d’attirer notre attention sur leurs caractéristiques propres. On oppose à ce paradigme un mode de réception qui repose sur l’utilisation. Cela suppose un mode de création basé sur des dispositifs susceptibles d’interpeller l’utilisateur au lieu du spectateur. –> Sommaire (.PDF)
    12,00