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1-24 of 427 products

  • Voir sans limites

    Aborder la quête scientifique des origines de la vie par l’histoire de sa visualisation revient à se saisir des sciences du visuel et les perspectives historiques comme moyens de mettre en œuvre une approche réflexive à l’encontre des images passées, présentes et à venir. Comment montrer ce qui est à la limite du connaissable, de l’imaginable ? Quelles intersections avec les questionnements artistiques, religieux, philosophiques concernant l’origine de la vie et de l’humanité ? Ce volume est aussi l’occasion d’interroger, en filigrane, l’autorité que nos sociétés donnent aux sciences et aux images. –> Sommaire (.PDF)
    18,00
  • Architecture et temporalité

    L'architecture est l'une des manières d'interpréter le thème de la qualité, de la beauté et de la dignité du projet en relation avec les différentes formes d'habitation humaine (formes qui sont donc exposées à leur temporalité). La recherche théorique de Vittorio Ugo permet de repenser les coordonnées fondamentales de l'art de construire. La relation entre l'architecture et le temps est au cœur de cet essai. Les œuvres d'architecture appartiennent certes à l'histoire, mais l'histoire des œuvres d'architecture est appelée à expliquer, à interpréter, à situer ces œuvres dans leur contexte, à les comparer, et surtout, pour ce faire, elle ne peut s'exonérer du rapport à la critique : elle doit porter des jugements, et non les suspendre. Cela signifie interpréter et connaître la temporalité spécifique de chaque œuvre d'architecture. –> Sommaire (.PDF)
    19,00
  • Survie

    En birman, l’acronyme Ma Aye Lo est un jeu de mots construit sur les initiales du général putschiste Min Aung Hlain et l’expression issue d’argot « nique ta mère ». Ce 31 décembre, onze mois après le coup d’État du 1er février 2021, murmuré à l’unisson dans l’obscurité de la nuit, un retentissant Ma Aye Lo s’élève des fenêtres pour se répandre à travers le pays. Avertissement en quelque sorte à l’encontre d’une junte tout à la fois tortionnaire et paternaliste s’autoproclamant « père et mère de la nation » : « Min Aung Hlaing, tu niques ta mère », sous-entendu notre « mère patrie ». Pour en rendre compte, le choix est fait d’une approche multisite – en France, en Birmanie, en Thaïlande – auprès de déplacés, d’exilés, de réfugiés et apatrides. Regards croisés sur les notions de guerre intérieure, de respect mêlé de crainte, d’indésirabilité… ce volume offre plus largement une introspection des conditions mêmes de survie constitutives des migrations contemporaines et interroge la résilience d’une population « indésirée » en son propre pays. –> Sommaire (.PDF)
    26,00
  • Matières vives

    Dans une traversée allant du politique vers le poétique, ce recueil propose des réflexions autour des notions d’histoire et de mémoire, d’identité et de non-humain, de geste et de toucher, au prisme des œuvres et des dessins de Giuseppe Penone. Les onze textes que rassemble cet ouvrage sont les fruits de deux rencontres : « Giuseppe Penone : une archéologie du devenir » et « Dessein d’images » qui ont accompagné les récentes expositions consacrées à l’œuvre de l’artiste (Sève et pensée, BNF, 2021-2022/Dessins, au Musée national d’art moderne de Paris, 2022-2023). De l’histoire de l’art à la littérature, de la philosophie à la critique d’art, de l’esthétique à la poésie, les différentes voix de cet ouvrage polyphonique s’entremêlent, telles les racines d’un arbre. –> Sommaire (.PDF)
    25,00
  • Formes d’idéologie

    Formes d’idéologie. Écrits sur l’image est un recueil de textes de l’artiste et théoricien Victor Burgin. Rédigés entre 1982 et 2024, ces douze essais s’intéressent à la part politique de l’esthétique, en explorant des sujets aussi différents que le rôle joué par la photographie dans la formation des idéologies, la catégorie incertaine de film-essai ou encore la question de l’art à l’époque de l’IA. En proposant au lecteur francophone ce recueil de textes, cet ouvrage entend susciter avant tout la rencontre avec une pensée et un parcours singuliers, marqués par une exigence critique exemplaire. –> Sommaire (.PDF)
    24,00
  • L’insensibilité

    Devant la place nouvelle, et croissante, accordée au sensible dans notre société contemporaine, cet ouvrage collectif sur l’insensibilité se propose d’explorer notre rapport au réel, aux émotions et à l’altérité selon une autre voie, a priori paradoxale. Il sera question ici d’un objet curieux, que sa négativité intrinsèque rend difficile à appréhender. Ce livre met au centre de son questionnement les représentations et les fonctions possibles de l’insensibilité, tentant par-là d’en cerner les contours mais aussi les formes pleines. De la littérature à la philosophie, en passant par les arts, on y découvrira les mérites et les pouvoirs cachés de l’insensibilité. –> Sommaire (.PDF)
    24,00
  • Sous l’esthétique

    En passant l’esthétique au crible des théories de l’évolution, cet ouvrage propose une esthétique compatible avec l’idée que les êtres humains restent partiellement dépendants de leur histoire évolutionnaire. Alors que les théories esthétiques ont souvent supposé un sujet dont les processus mentaux seraient pré-déterminés, un sujet qui serait « prêt à l’emploi », il est ici question de proposer un cadre théorique permettant de comprendre l’acquisition progressive de comportements esthétiques et de rechercher, sous l’esthétique, d’éventuelles racines de l’expérience esthétique. Loin de tout déterminisme et réductionnisme, cet ouvrage défend l’idée que seule une inadaptation relative de l’être humain à l’environnement peut favoriser la possibilité de l’expérience esthétique. –> Sommaire (.PDF)
    19,00
  • Nouveaux mondes amoureux

    Le sujet qui collectionne les matériaux de ce livre, dans ses déplacements entre Paris, Moscou et Barcelone, est Walter Benjamin. Cet essai rassemble les éclats d’une « utopie de l’amour » qui se dissimule dans l’œuvre du philosophe allemand. Benjamin est à la fois le guide d’un voyage à travers l’imaginaire de l’utopie et le témoin d’une transformation révolutionnaire dans le rapport entre les sexes. Ce périple a lieu à la fin des Années folles ; il mène de la « féerie dialectique » du XIXe siècle à Moscou, et de Claire Démar à Colette, en passant par la conception de la « femme nouvelle ». Le livre est jalonné de textes, y compris des textes inédits en français, qui mettent en évidence les clivages idéologiques qui sous-tendent l’émergence de nos mondes amoureux. –> Sommaire (.PDF)
    18,00
  • Soudain, c’est le printemps

    La rencontre entre l’un des plus grands poètes de l’avant-garde cinématographique américaine et le philosophe de langue française qui a marqué décisivement le destin de la philosophie contemporaine se cristallise d’abord autour d’une certitude inébranlable, une conviction qui est existentielle avant d’être l’objet d’une thèse philosophique ou d’un motif cinématographique. Cette certitude, c’est que la vie est bonne, que toute vie, qui se reçoit comme un don gratuit et inexplicable, vaut d’être célébrée, quand bien même elle s’éveillerait à elle-même parmi les ruines de l’histoire. –> Sommaire (.PDF)
    20,00
  • Ritournelles de l’arrière-pays

    Trente ans d’ethnographie au sud-ouest de la Turquie, dans un arrière-pays de danseurs et de rythmes boiteux. Deux lieux, deux mondes : d’un côté des paysans d’ascendance nomade, sunnites, et leurs musiques répétitives ; de l’autre, un grand village placé sous le signe de ‘Ali, organisé selon la règle bektachie, et dont les hivers sont rythmés par les rituels nocturnes de djem. –> Sommaire (.PDF)
    28,00
  • Le temps des utopies

    Lever l’injonction de devoir gagner sa vie par le versement d’une rente à chaque citoyen atteignant sa majorité permettrait de concevoir le travail et l’existence d’une manière profondément différente. D’un point de vue anthropologique, la rente à vie, qui viendrait en remplacement de toutes les formes d’allocations et d’aides existantes, serait, en outre, un moyen d’aller plus loin dans le projet démocratique occidental tout en préservant un système libéral. Le rêve d’un monde où l’État organise le partage d’une partie des richesses entre les citoyens paraît certes utopique, mais il a le mérite d’ouvrir des perspectives dans ce moment chaotique que traverse l’Occident. –> Sommaire (.PDF)
    10,00
  • Le monde de l’agir

    La présente traduction offre la version intégrale du livre de Nishida Kitaro intitulé Le Monde de l’agir. Problèmes fondamentaux de la philosophie I. Publié en décembre 1933, cet ouvrage constitue, avec les livres De la chose qui agit au soi qui voit (1927), Le Système des universels à l’aune de l’autoéveil (1930) et La Détermination du soi néantisé et autoéveillé (1932), ce qu’il est convenu d’appeler la deuxième période de la philosophie de Nishida. –> Sommaire (.PDF)
    16,00
  • Au prisme des écrans

    C’est surtout au prisme des écrans que nous pouvons accéder, de nos jours, à la réalité complexe et changeante dans laquelle nous vivons, affectée par les conséquences de la crise sanitaire et celles de la crise climatique, ainsi que par les innovations introduites par les technologies numériques telles que les intelligences artificielles génératives. –> Sommaire (.PDF)
    28,00
  • Pensées sur la véritable évaluation des forces vives

    « Nous sommes au centre de la plus belle tâche que la Mécanique abstraite ait jamais pu offrir jusqu’à présent. (§. 134) ». Les Gedanken de 1746 (1749) représentent le premier moment synthétique de la spéculation kantienne. La célèbre querelle des forces vives, occasionnée par Leibniz en 1686 à l’encontre de la philosophie cartésienne autour du thème de la conservation de la quantité de mouvement, y est abordée. –> Sommaire (.PDF)
    24,00
  • Jeux et récits d’enfance selon Walter Benjamin

    Le thème de l’enfance est central dans l’œuvre de Walter Benjamin. Il s’est intéressé aux jeux des enfants, à leurs jouets et à leurs livres. Il a aussi réalisé des émissions radiophoniques. Il connaissait bien les travaux de ses contemporains sur la psychanalyse, la psychologie et l’éducation. Il a été, en particulier, un grand lecteur de Freud. Ces intérêts ont convergé dans les années 1930 vers sa propre enfance avec ses écrits autobiographiques. Dans ses derniers travaux, l’enfant reste une figure très investie. Cet ouvrage montre comment Benjamin se représente le jeu de l’enfant et comment il raconte son enfance. Son objectif est de favoriser la réception de ses idées pour les cliniciens et les psychanalystes d’enfants, d’adolescents et d’adultes mais aussi pour tous les lecteurs qui s’intéressent à l’enfance, au jeu, à la mémoire et à l’histoire. –> Sommaire (.PDF)
    18,00
  • Le cinéma burlesque, une autre origine du surréalisme

    « Allons, un peu plus d’humour, que diable ! », s’exclame Aragon dans Le Con d’Irène. Une exhortation similaire pourrait être lancée à propos de l’histoire du surréalisme. Jusqu’ici, les origines du surréalisme ont surtout été explorées à travers la découverte de Freud et de l’inconscient, ou par le prisme des grandes figures poétiques qui l’ont précédé. Ce livre propose une autre perspective : celle du cinéma burlesque. Les films de Chaplin, Keaton, Lloyd & Cie ont agi comme un « excitant » sur Aragon, Breton, Desnos et les autres et ont mis en mouvement leur imagination, leur écriture et même leur corps. Jusqu’à les conduire à créer le surréalisme. –> Sommaire (.PDF)
    38,00
  • La détermination du soi néantisé et autoéveillé

    La Détermination du soi néantisé et autoéveillé est en tout point impressionnant. Cet ouvrage est le reflet de l’état de maturation de la philosophie de l’auteur en 1932. Le thème de la détermination et ses quatre significations constituent les rouages internes qui garantissent l’agencement et le développement harmonieux de la variété de concepts mise en œuvre par Nishida lors de la deuxième période de sa pensée (1923-1933). –> Sommaire (.PDF)
    28,00
  • L’écran des siècles

    Si Gilles Deleuze ouvre son diptyque consacré au cinéma, constitué de L’Image-mouvement et de L’Image-temps, en insistant sur le fait qu’il n’écrit pas ici une « histoire » du septième art mais plutôt « une taxinomie, un essai de classification des images et des signes », il a souvent été souligné combien c’est un événement historique qui paraît servir d’articulation entre les deux tomes et les régimes d’images correspondants. –> Sommaire (.PDF)
    28,00
  • L’Occident connaît la musique

    La musique occidentale et en particulier la musique dite « classique » – à l’instar de la philosophie, également occidentale – est un élément essentiel d’affirmation de la prétendue supériorité de l’Occident sur les autres parties du monde. Ce résultat étant obtenu en rejetant dans une extériorité, une infériorité ou une spécificité radicales ce que l’on pourrait dénommer, en s’inspirant de l’appellation autrefois accolée aux sociétés exotiques, les musiques « sans écriture ». Ces musiques orales et improvisées sont appropriées à la fois par l’ethnomusicologie et les musiques du monde. –> Sommaire (.PDF)
    16,00
  • Cinématérialismes

    Cet ouvrage collectif explore les points de contact existant entre le cinéma et les traditions historiques et philosophiques du matérialisme. Les articles réunis proposent de réinscrire la description de la matière visuelle et so¬nore des images dans un travail critique qui prendrait en compte la dimension socio-politique des formes de production – tech¬niques, économiques, écologiques – des œuvres. –> Sommaire (.PDF)
    28,00
  • Pour une anthropologie de l’empreinte

    Cet ouvrage à l’iconographie inédite propose une approche cognitive et phénoménologique des empreintes lato sensu : à la fois les traces réelles laissées par les hommes ou les animaux, mais aussi les empreintes dites « merveilleuses », généralement des signes pédiformes sur supports lithiques. Un parcours passionnant à travers les continents, les civilisations, les époques et les pratiques, des déserts africains au bitume de nos villes. –> Sommaire (.PDF)
    26,00
  • Le cinéma des formes furtives

    La surveillance ne cesse de générer de nouvelles images. Des portraits d’identité à la reconnaissance faciale, de la vidéosurveillance à la lecture des empreintes digitales, les modalités du regard surveillant sont nombreuses et en renouvellement permanent. –> Sommaire (.PDF)
    28,00
  • Perception et apparition du monde

    C’est aujourd’hui devenu une évidence, tant en philosophie qu’en sciences cognitives : le monde est quelque chose dont nous – « sujet percevant » – faisons « l’expérience », quelque chose qui apparait « à notre conscience », et à quoi la perception, d’une façon ou d’une autre, nous « donne accès ». Cet ouvrage, marqué par la radicalité du geste phénoménologique, se propose de déconstruire ce truisme subjectiviste, et développe une nouvelle approche – narrative et dramaturgique – de l’apparaître perceptif centrée sur les concepts d’histoire et de situation. Le sujet, par la perception, n’« accède » pas au monde, il n’en prend pas connaissance ou « conscience ». La perception raconte une histoire, qu’elle porte au phénomène. Le « sujet » – comme n’importe quel apparaissant – fait partie de cette histoire, en constitue même le principal « objet ». C’est par ce modus operandi – cette opération de mise en situation narrative – que la perception assure sa fonction de présentation, fait apparaitre le monde et nous y introduit. –> Sommaire (.PDF)
    30,00
  • L’histoire sans fin de la fin de l’Histoire, de la fin de l’art et de son histoire

    Depuis bien longtemps philosophes et historiens de l’art, essentiellement en Occident, ont réfléchi sur une même problématique : la fin de l’histoire, et la fin de l’art. Ces deux moments ne sont pas toujours traités ensemble, mais ils ne peuvent être pensés séparément, même s’il faut les distinguer. De nombreux auteurs ont d’ailleurs souvent compris et interprété l’un par l’autre. –> Sommaire (.PDF)
    24,00