Catalogue

Filtres

Montrant 1-48 of 415 produits

Voir 24/48/Tous

Please add widgets to the WooCommerce Filters widget area in Appearance > Widgets

1-48 of 415 products

  • Au prisme des écrans

    C’est surtout au prisme des écrans que nous pouvons accéder, de nos jours, à la réalité complexe et changeante dans laquelle nous vivons, affectée par les conséquences de la crise sanitaire et celles de la crise climatique, ainsi que par les innovations introduites par les technologies numériques telles que les intelligences artificielles génératives. –> Sommaire (.PDF)
    28,00
  • Pensées sur la véritable évaluation des forces vives

    « Nous sommes au centre de la plus belle tâche que la Mécanique abstraite ait jamais pu offrir jusqu’à présent. (§. 134) ». Les Gedanken de 1746 (1749) représentent le premier moment synthétique de la spéculation kantienne. La célèbre querelle des forces vives, occasionnée par Leibniz en 1686 à l’encontre de la philosophie cartésienne autour du thème de la conservation de la quantité de mouvement, y est abordée. –> Sommaire (.PDF)
    24,00
  • Jeux et récits d’enfance selon Walter Benjamin

    Le thème de l’enfance est central dans l’œuvre de Walter Benjamin. Il s’est intéressé aux jeux des enfants, à leurs jouets et à leurs livres. Il a aussi réalisé des émissions radiophoniques. Il connaissait bien les travaux de ses contemporains sur la psychanalyse, la psychologie et l’éducation. Il a été, en particulier, un grand lecteur de Freud. Ces intérêts ont convergé dans les années 1930 vers sa propre enfance avec ses écrits autobiographiques. Dans ses derniers travaux, l’enfant reste une figure très investie. Cet ouvrage montre comment Benjamin se représente le jeu de l’enfant et comment il raconte son enfance. Son objectif est de favoriser la réception de ses idées pour les cliniciens et les psychanalystes d’enfants, d’adolescents et d’adultes mais aussi pour tous les lecteurs qui s’intéressent à l’enfance, au jeu, à la mémoire et à l’histoire. –> Sommaire (.PDF)
    18,00
  • Le cinéma burlesque, une autre origine du surréalisme

    « Allons, un peu plus d’humour, que diable ! », s’exclame Aragon dans Le Con d’Irène. Une exhortation similaire pourrait être lancée à propos de l’histoire du surréalisme. Jusqu’ici, les origines du surréalisme ont surtout été explorées à travers la découverte de Freud et de l’inconscient, ou par le prisme des grandes figures poétiques qui l’ont précédé. Ce livre propose une autre perspective : celle du cinéma burlesque. Les films de Chaplin, Keaton, Lloyd & Cie ont agi comme un « excitant » sur Aragon, Breton, Desnos et les autres et ont mis en mouvement leur imagination, leur écriture et même leur corps. Jusqu’à les conduire à créer le surréalisme. –> Sommaire (.PDF)
    38,00
  • La détermination du soi néantisé et autoéveillé

    La Détermination du soi néantisé et autoéveillé est en tout point impressionnant. Cet ouvrage est le reflet de l’état de maturation de la philosophie de l’auteur en 1932. Le thème de la détermination et ses quatre significations constituent les rouages internes qui garantissent l’agencement et le développement harmonieux de la variété de concepts mise en œuvre par Nishida lors de la deuxième période de sa pensée (1923-1933). –> Sommaire (.PDF)
    28,00
  • L’écran des siècles

    Si Gilles Deleuze ouvre son diptyque consacré au cinéma, constitué de L’Image-mouvement et de L’Image-temps, en insistant sur le fait qu’il n’écrit pas ici une « histoire » du septième art mais plutôt « une taxinomie, un essai de classification des images et des signes », il a souvent été souligné combien c’est un événement historique qui paraît servir d’articulation entre les deux tomes et les régimes d’images correspondants. –> Sommaire (.PDF)
    28,00
  • L’Occident connaît la musique

    La musique occidentale et en particulier la musique dite « classique » – à l’instar de la philosophie, également occidentale – est un élément essentiel d’affirmation de la prétendue supériorité de l’Occident sur les autres parties du monde. Ce résultat étant obtenu en rejetant dans une extériorité, une infériorité ou une spécificité radicales ce que l’on pourrait dénommer, en s’inspirant de l’appellation autrefois accolée aux sociétés exotiques, les musiques « sans écriture ». Ces musiques orales et improvisées sont appropriées à la fois par l’ethnomusicologie et les musiques du monde. –> Sommaire (.PDF)
    16,00
  • Cinématérialismes

    Cet ouvrage collectif explore les points de contact existant entre le cinéma et les traditions historiques et philosophiques du matérialisme. Les articles réunis proposent de réinscrire la description de la matière visuelle et so¬nore des images dans un travail critique qui prendrait en compte la dimension socio-politique des formes de production – tech¬niques, économiques, écologiques – des œuvres. –> Sommaire (.PDF)
    28,00
  • Pour une anthropologie de l’empreinte

    Cet ouvrage à l’iconographie inédite propose une approche cognitive et phénoménologique des empreintes lato sensu : à la fois les traces réelles laissées par les hommes ou les animaux, mais aussi les empreintes dites « merveilleuses », généralement des signes pédiformes sur supports lithiques. Un parcours passionnant à travers les continents, les civilisations, les époques et les pratiques, des déserts africains au bitume de nos villes. –> Sommaire (.PDF)
    26,00
  • Le cinéma des formes furtives

    La surveillance ne cesse de générer de nouvelles images. Des portraits d’identité à la reconnaissance faciale, de la vidéosurveillance à la lecture des empreintes digitales, les modalités du regard surveillant sont nombreuses et en renouvellement permanent. –> Sommaire (.PDF)
    28,00
  • Perception et apparition du monde

    C’est aujourd’hui devenu une évidence, tant en philosophie qu’en sciences cognitives : le monde est quelque chose dont nous – « sujet percevant » – faisons « l’expérience », quelque chose qui apparait « à notre conscience », et à quoi la perception, d’une façon ou d’une autre, nous « donne accès ». Cet ouvrage, marqué par la radicalité du geste phénoménologique, se propose de déconstruire ce truisme subjectiviste, et développe une nouvelle approche – narrative et dramaturgique – de l’apparaître perceptif centrée sur les concepts d’histoire et de situation. Le sujet, par la perception, n’« accède » pas au monde, il n’en prend pas connaissance ou « conscience ». La perception raconte une histoire, qu’elle porte au phénomène. Le « sujet » – comme n’importe quel apparaissant – fait partie de cette histoire, en constitue même le principal « objet ». C’est par ce modus operandi – cette opération de mise en situation narrative – que la perception assure sa fonction de présentation, fait apparaitre le monde et nous y introduit. –> Sommaire (.PDF)
    30,00
  • L’histoire sans fin de la fin de l’Histoire, de la fin de l’art et de son histoire

    Depuis bien longtemps philosophes et historiens de l’art, essentiellement en Occident, ont réfléchi sur une même problématique : la fin de l’histoire, et la fin de l’art. Ces deux moments ne sont pas toujours traités ensemble, mais ils ne peuvent être pensés séparément, même s’il faut les distinguer. De nombreux auteurs ont d’ailleurs souvent compris et interprété l’un par l’autre. –> Sommaire (.PDF)
    24,00
  • Objets vivants 2

    L’humain doit-il continuer à se penser comme étant la mesure de toute chose, sous l’emprise – encore et toujours – d’un fantasme de toute-puissance ? Peut-il encore se considérer comme le maître du vivant ? Ou, peut-être, pouvons-nous envisager le dépassement de l’irréductible opposition entre vivant et objet, en prenant en considération des connexions immanentes entre matière et vie ? –> Sommaire (.PDF)
    22,00
  • Pouvoir destituant

    Qu’est-ce que le pouvoir destituant ? Le pouvoir destituant est une notion ouverte, fatalement ambiguë, insaisissable et destinée à se former au fur et à mesure des événements. Il défait la souveraineté, les hiérarchies, les formes de possession, les relations cimentées par la nécessité, il dynamite toutes les identités, même celles qui font de la différence, sans le savoir, leur identité. –> Sommaire (.PDF)
    20,00
  • Cartes invisibles

     « Invisible il y a bien dans la carte, toujours, comme du reste dans toute image : un invisible fondamental qui en déconstruit l’illusoire transparence, un invisible paradoxal aussi, s’agissant d’un objet dont la nature même est de montrer. Toutefois, si ce paradoxe est l’apanage de toute carte, il en est de nature particulière qui redoublent ce jeu d’équivoque entre clarté et opacité de l’image. » 
    C’est ce paradoxe cartographique que le présent ouvrage entend interroger, à travers le prisme de la littérature et du cinéma. Aux cartes proprement invisibles – restées dans les coulisses de la création – répond l’invisibilité caractérisant l’image qu’est la carte en tant que telle : ses zones d’ombre, ses points aveugles, parfois sciemment orchestrés à des fins politiques. Mais à tout pouvoir, son contre-pouvoir, comme le montre l’émergence récente d’une cartographie alternative et engagée visant à rendre justice à des acteurs ou à des phénomènes invisibilisés par le corps social. Les quatorze contributions composant ce volume explorent ainsi les différentes facettes (géographiques, esthétiques, politiques) de l’énigme posée au regard par ce qui, dans l’image censée capturer le réel, se dérobe à elle.
    –> Sommaire (.PDF)
    26,00
  • Devenir hétéronomes

    La volonté d’imaginer les mondes de l’après-modernité dans le contexte actuel de désastre écologique n’est pas nouvelle. Il est rare, pourtant, qu’elle se hasarde à contester le rêve d’émancipation et d’autonomie du sujet moderne, quand elle ne cherche pas à le préserver à tout prix. –> Sommaire (.PDF)
    12,00
  • Projet de système philosophique

    Dans ce premier des sept volumes des Essais philosophiques, publié au Japon en 1935, Nishida procède à l’établissement d’un système philosophique qui décrit avec une précision remarquable la structure du monde de la réalité historique, c’est-à-dire la structure du monde dialectique. Celui-ci est le fondement permettant de comprendre la nature de l’expérience, des sciences et de la société. L’intérêt principal de ce volume par rapport aux précédents réside dans le fait que, dans le but d’exposer sa pensée de manière ordonnée, concise et d’en faciliter l’accès, Nishida fournit ici une série « d’explications schématiques » qui illustrent de manière extrêmement précise le contenu philosophique exposé. –> Sommaire (.PDF)
    22,00
  • L’éthique de l’intelligence artificielle expliquée à mon fils

    Un essai comme un roman. Un dialogue animé entre un père, éthicien de l’IA, et son fils, curieux et passionné. Un soir, à la maison, tout en préparant de délicieuses pâtes, le père et le fils explorent ensemble les thèmes de la confiance et des risques dans le domaine de l’IA, réfléchissant sur la profession à la fois ancienne et innovante d’éthicien. Leur échange est enrichi par l’intervention d’un oncle excentrique, dont l’éloquence étrange et l’approche zen ouvrent de nouvelles perspectives sur la morale. Tous les ingrédients sont réunis, dans un bon équilibre, afin de rendre possible la compréhension des enjeux de l’éthique de l’AI. Et surtout, pour comprendre que la philosophie ne cherche pas à réduire l’incertitude avec des solutions universelles, mais plutôt à naviguer dans cette zone grise, en prenant en compte l’incertitude, sans chercher à la détruire artificiellement. –> Sommaire (.PDF)
    14,00
  • Épistoenologie

    On peut philosopher à tout propos et avec tout. Ce livre propose de philosopher avec le vin, où le « avec » – « ensemble », mais aussi « par » le vin – ouvre à la conscience (cum-scientia) à l’éveil, à la compassion, à la connivence et à la communication. En remettant en question la manière conventionnelle et moderne d’apprécier le vin, basée sur l’analyse sensorielle et la segmentation, à l’imitation de la méthode scientifique analytique, une voie alternative est proposée qui emprunte les chemins d’un relationnalisme radical. Le vin devient ainsi le paradigme d’une expérience relationnelle comme regard de biais, une perception haptique en sympathie avec le monde dans lequel nous sommes immergés. Cette approche sensibilise ainsi l’attention et l’écoute, renforce l’imagination, éduque la perception dans un sens créatif et nous rend responsables des choix que nous faisons. –> Sommaire (.PDF)
    20,00
  • L’exception grecque

    Y a-t-il eu un « miracle grec » ? Les représentations classiques sont complètement dépassées, mais le paradoxe est toujours là : comment une société peu pourvue en ressources naturelles a-telle pu mettre en place aussi vite ce qui allait être le socle de l’Occident ? La brièveté du « miracle » occulte l’histoire longue qui permet de le comprendre. Dès l’âge du bronze, la Grèce a été le pivot qui a fait entrer le continent européen dans l’histoire. Dans cette mondialisation capitale, les Grecs deviennent les fournisseurs de métal de l’Égypte et du Proche-Orient. C’est en gérant cette activité de technologie et de transports maritimes, alors même que leur terre est très pauvre, qu’ils vont découvrir leur voie singulière, qui va devenir la nôtre. –> Sommaire (.PDF)
    22,00
  • Pédagogie de l’expérience esthétique et de l’expérimentation en art

    L’éducation est au cœur d’un problème politique majeur : comment guider les élèves vers l’autonomie et la réalisation d’eux-mêmes, tout en les menant à agir sur le monde et la vie sociale ? C’est ici que prennent place les théories de l’éducation nouvelle, lesquelles ont pour point commun l’expérience croisée et solidaire de l’enseignant et de l’apprenant, la pratique comme source d’appropriation du savoir et de toute transmission. –> Sommaire (.PDF)
    28,00
  • Claude-François-Parfait Boutin en Inde et aux Mascareignes (1782-1786)

    On s’interroge beaucoup, ces temps-ci, sur deux différents champs historiographiques de la période moderne : d’une part celui de l’histoire de la présence française aux Indes orientales pendant la deuxième moitié du XVIIIe siècle, et d’autre part celui de la rivalité franco-britannique à l’échelle mondiale. –> Sommaire (.PDF)
    22,00
  • La signature

    La musique de « création », parfois appelée musique « d’art » et autrefois identifiée comme musique « savante », traverse une crise profonde. Ce texte se veut à la fois un manifeste, une critique constructive et une réponse possible à la crise identitaire de la musique de recherche. La première partie est une analyse sociologique, systémique, technologique et épistémologique de cette crise que l’intelligence artificielle a accélérée. La seconde partie propose douze pistes pour sortir de cette impasse. –> Sommaire (.PDF)
    40,00
  • Philosophie avec personnages

    La philosophie politique s’en est longtemps tenue à la recherche du meilleur régime possible, sous la forme du traité. Cette histoire prescriptive n’est cependant que la plus visible. À côté des concepts abstraits et généralisants, une tendance plus discrète existe, qui incarne la théorie. Les fictions politiques sont une clef pour qui ne veut pas en rester à l’analyse des strates institutionnelles. Loin d’être un simple réservoir d’exemples et de cas, le fictionnalisme politique a une fonction épistémique. Mythes, fables, incursions littéraires sont la matière d’une réflexion qui analyse autant qu’elle invente le politique. L’imagination philosophique utilise des personnages conceptuels, qui introduisent à la singularité et à la nuance. L’île, le partisan, Robinson Crusoé ou Benito Cereno, mais aussi Lénine ou Lawrence d’Arabie, peuplent le protagonisme de Haim Burstin, le politique selon Carl Schmitt, le Léviathan de Carlo Ginzburg, l’agora par Hannah Arendt ou le droit de la guerre de Michael Walzer. Cette perspective renouvelle la question du réalisme politique et met en lumière ce que la philosophie doit aux images et à la création. –> Sommaire (.PDF)
    22,00
  • Science et conscience

    Les femmes et les hommes qui ont choisi la science comme but de leur vie aiment se penser totalement libres d’obligations vis-à-vis de la société. Au point de vue moral, ils considèrent la science comme une valeur en elle-même et, de ce fait, neutre en ce qui concerne ses implications sociales et ses conséquences éthiques et politiques. Dans l’antiquité, on sait qu’Archimède a participé à la résistance de Syracuse, lors du siège des Romains, en concevant ses « miroirs de feu ». Mais après la capitulation, il a brûlé les notes où il avait consigné le mode de fabrication de son invention. En revanche Enrico Fermi, dès qu’il parvient à la scission contrôlée de l’atome, débarque à Chicago et télégraphe au Président des États-Unis : « Le navigateur italien est arrivé. Il attend instructions ». La neutralité morale et sociale de la science est évidemment impossible. Il se peut que, après Hiroshima et Nagasaki, les « Dissenting Colleges » se multiplient. À l’heure actuelle, l’humanité n’a pas d’assurance contre son anéantissement. –> Sommaire (.PDF)
    10,00
  • Le royaume des ombres

    La philosophie classique allemande s’est souvent interrogée sur la ligne de partage entre l’occulte et le visible, en mettant à l’œuvre les concepts de « royaume des ombres » (Schattenreich) et de « royaume des esprits » (Geisterreich). Ce livre retrace les permanences et les variables d’une ligne textuelle « mineure » qui s’est déroulée dans la pensée du XIXe siècle. À cette généalogie appartient aussi l’interprétation psychanalytique des figures diaboliques et des fantasmagories, considérées par Freud comme expressions de l’inquiétante étrangeté de la mort dans son rapport paradoxal avec la vie. La déconstruction de ce réseau met en lumière une « logique de la revenance » qui structure le discours philosophique de la Klassik et de la psychanalyse. Cette logique conduit à la définition de la « spectralité » comme l’entrelacs du visible et de l’invisible, et explique son rôle crucial dans l’esthétique moderne. –> Sommaire (.PDF)
    24,00
  • Le cinéma taiwanais

    Peut-il exister un cinéma national pour une nation qui n’est pas reconnue comme telle ? C’est la question à laquelle cet ouvrage se propose de répondre, dans le cas de Taiwan. Une île où le cinéma a été importé dans un contexte de colonisation par le Japon (1895-1945), où il s’est par la suite développé, après-guerre, sous le contrôle d’un gouvernement autoritaire, nouvellement arrivé, celui des nationalistes chinois menés par Chiang Kai-shek. Comment, alors, appréhender le cinéma taiwanais ? –> Sommaire (.PDF)
    20,00
  • Gorgias

    « Gorgias est celui qui a définitivement caractérisé, au moins dans ses lignes essentielles, notre style. De même que la tragédie grecque constitua le moule définitif dans lequel pour ainsi dire se cristallisa l’art dramatique […], de même la forme essentiellement gorgienne d’articuler la pensée est devenue le moule définitif et intangible dans lequel la pensée occidentale s’est jusqu’à maintenant formée. »« Gorgias est celui qui a définitivement caractérisé, au moins dans ses lignes essentielles, notre style. De même que la tragédie grecque constitua le moule définitif dans lequel pour ainsi dire se cristallisa l’art dramatique […], de même la forme essentiellement gorgienne d’articuler la pensée est devenue le moule définitif et intangible dans lequel la pensée occidentale s’est jusqu’à maintenant formée. »

    Avec un essai de Amedeo Vigorelli Édition établie et présentée par Francesca Salvarezza

    –> Sommaire (.PDF)
    15,00
  • Projection/Protection

    La Fantasmagorie de la fin du XVIII e siècle, les palais du cinéma des années 1920 ou encore les images provenant de nos ordinateurs construisent des bulles physiques ou mentales qui nous servent de refuge. Le postulat de Francesco Casetti se veut provocateur : les écrans qui font partie de notre quotidien depuis plus de deux siècles ne sont finalement pas des extensions de notre vue, mais des formes de protection par rapport à un monde qui se révèle constamment menaçant. La nécessité de se détacher du contexte immédiat, au moyen d’une zone de sécurité qui nous rattache à la réalité par le filtre des images, répondrait à ce besoin de défense. Mais protéger signifie aussi étouffer et limiter, et fait souvent ainsi advenir une autre forme de violence. C’est seulement par le biais d’une nouvelle sensibilité, ouverte aux risques du monde, et non contrainte par nos propres peurs, que l’on pourra rétablir un dialogue productif avec la réalité. –> Sommaire (.PDF)
    22,00
  • Sous les remparts de Jérusalem

    Démonisés, différents, expatriés ou enfermés dans des pansde terre meurtrie, les Palestiniens sont apparus au regard des Occidentaux dans le tumulte des évènements, dans un contextede lutte, de résistance active, sinon de véritable guerre. Cemouvement frénétique et effrayant, en revanche, se calme dansles photographies de Tano d’Amico. Elles cueillent l’existence quotidienne de ces hommes, de ces femmes et ces enfants. Tandis que gronde l’Histoire avec sa violence, ses menaces etses dangers, les moments de vie saisis par les clichés de Tanonous apparaissent comme suspendus dans l’instant d’un soupir, et ceci néanmoins pour toujours. Alors que ces hommes, deces femmes et ces enfants sont peut-être morts aujourd’hui. Accompagnées de poésies des plus grands auteurs palestiniens, les photos proposées dans ce livre nous racontent le quotidien, labeauté et la douleur d’un peuple. Une douleur qui est restée troplongtemps ignorée, atrocement accrue chaque jour à présent. –> Sommaire (.PDF)
    13,00
  • L’art en mode emploi

    Ce texte, qui met en relation réflexion théorique et création artistique, entend comprendre pourquoi au cours de la contemplation d’une œuvre d’art notre attention dépasse rarement ses qualités formelles, esthétiques ou conceptuelles. Contrairement à d’autres artefacts que nous rencontrons au quotidien, nous identifions les œuvres d’art au fait qu’elles ne satisfont pas des fins utilitaires. Leur place dans le musée ou la galerie en atteste et conduit à faire en sorte qu’elles n’ont pas d’autre rôle que d’attirer notre attention sur leurs caractéristiques propres. On oppose à ce paradigme un mode de réception qui repose sur l’utilisation. Cela suppose un mode de création basé sur des dispositifs susceptibles d’interpeller l’utilisateur au lieu du spectateur. –> Sommaire (.PDF)
    12,00
  • Jean Renoir et la pensée des cinéastes

    La tâche d’un artiste est de nous démystifier, disait Renoir. De déchirer le voile épais qui sépare le regard humain du monde tel que son art se doit de le révéler. Toute époque a ses silences. A lui de les énoncer. Chez le cinéaste, tout se pense dans la pluralité et la diversité. D’où l’exceptionnelle inventivité de ses derniers films. Tous différents. Remettant en chantier ce qui avait été merveilleusement bâti dans les oeuvres précédentes. D’où leur présentation ici chronologique. Ce troisième et dernier tome réunit toutes les réalisations de la seconde période française de l’auteur. La moins célébrée, la plus méconnue. –> Sommaire (.PDF)
    35,00
  • Le système des universels à l’aune de l’autoéveil

    Le Système des universels à l’aune de l’autoéveil porte sur la série d’universels sur laquelle était centrée la logique de Nishida Kitaro- durant la deuxième période de sa pensée (1923-1932), de même que sur le thème de l’autoéveil qui marque, à des degrés divers, chacun de ces universels. –> Sommaire (.PDF)
    30,00
  • Seconde nature

    L’art préhistorique représente le moment auroral de ce que, avec Hegel, nous pouvons appeler la « seconde nature » : le monde des objectivations de l’esprit qui structurent notre vie sociale, éthique et politique ; celui des institutions, qui façonnent la vie humaine, à partir de la représentation du réel et des productions de la technique, jusqu’aux technologies numériques contemporaines. Comment le passage à cette secondarité a-t-il été possible et comment faut-il comprendre ce dédoublement ? –> Sommaire (.PDF)
    17,00
  • Cosmopolitique de l’agroécologie

    Le Brésil est connu comme géant de l’agronégoce, mais il est aussi un pays exemplaire pour l’agroécologie qui est là-bas un mouvement social large et pluriel. A partir d’une enquête de terrain de deux ans – entre 2017 et 2019 – l’ouvrage propose une plongée dans l’agroécologie brésilienne en suivant le quotidien de trois collectifs liés au principal centre agroécologique du pays, situé au nord du Minas Gerais. –> Sommaire (.PDF)
    28,00
  • Renoir et la pensée des cinéastes

    La première somme consacrée au cinéma de Jean Renoir. De ses débuts, aujourd’hui lisibles en leurs prémisses, jusqu’au dernier film dont aucune étude n’avait été encore menée dans son intégralité. Dans un souci constant de fidélité aux images et aux sons, l’ouvrage éclaire les choix esthétiques du cinéaste en leur constant renouvellement. –> Sommaire (.PDF)
    22,00
  • États d’images

    Le présent volume étudie la façon dont les textes, la langue, les vers de Dante, et en particulier la Comédie, ont été traduits dans d’autres langages artistiques et, inversement, de quelle manière ces différents langages, modelés par leur propre évolution esthétique au cours des siècles, donnent lieu à des lectures, neuves et inédites, de la poésie dantesque. –> Sommaire (.PDF)
    20,00
  • L’assassinat de la rue Danjon

    À la Villette, dans le 19e arrondissement de Paris, un acte de vandalisme dans un magasin juif et la mort d’un rabbin ont jeté le trouble entre les communautés du quartier. La commissaire de police, Martine Sebag, a suivi l’escalade de violence depuis le début : elle vit dans le quartier dont elle connaît bien l’histoire. –> Sommaire (.PDF)
    13,00
  • Dante et les arts performatifs

    Le présent volume étudie la façon dont les textes, la langue, les vers de Dante, et en particulier la Comédie, ont été traduits dans d’autres langages artistiques et, inversement, de quelle manière ces différents langages, modelés par leur propre évolution esthétique au cours des siècles, donnent lieu à des lectures, neuves et inédites, de la poésie dantesque. –> Sommaire (.PDF)
    28,00
  • Pour une pensée sans frontières

    Tenter d’instaurer une pensée sans frontières entre Orient et Occident consiste moins à confronter, selon le modèle de ce qui se nomme aujourd’hui « philosophie comparée », les textes issus de la tradition occidentale à ceux de la tradition orientale qu’à montrer les ressemblances tout autant que les différences entre eux. –> Sommaire (.PDF)
    24,00
  • Cinémas de Bombay

    Ville coloniale et port de commerce international, Bombay devient une capitale mondiale du cinéma dans les années 1930. La « City of Dreams » indienne voit émerger un paysage de salles composé de lieux spectaculaires et d’autres, plus anonymes, où va naître le cinéma comme pratique culturelle populaire et art national. –> Sommaire (.PDF)
    23,00
  • Zéro dièse existe

    Art et mathématiques entretiennent depuis les temps les plus reculés une relation intime comme en témoignent les œuvres de Léonard de Vinci, Béla Bartók, Bernar Venet, Roman Opalka, Manfred Mohr, Ryoji Ikeda, Hollis Frampton, Shigeru Onishi et bien d’autres. On remarque cependant que depuis le milieu des années soixante cette relation a commencé à s’affaiblir et qu’une certaine distance s’est installée entre ces deux champs de la création. –> Sommaire (.PDF)
    18,00
  • Cinéma du corps, cinéma du cerveau

    C’est d’abord à l’aune de la distinction opérée dans L’Image-temps entre « cinéma du corps » et « cinéma du cerveau » que cet ouvrage collectif interroge la pensée deleuzienne du septième art et des images en mouvement. Mais également en la confrontant à la phénoménologie, via la figure de Merleau-Ponty, et son affirmation de la présence irréfragable du corps dans sa considération de l’image filmique, tout comme à d’autres figures et courants de pensée qui ont pu influencer Deleuze quant à sa conception du cerveau et de la tacite spectatorialité aux frontières diffuses qu’elle implique. –> Sommaire (.PDF)
    25,00
  • Hegel

    « Le Système hégélien : un anabsolutisme intégral. Assavoir : une pensée absolue de l’absolu accomplissant une philosophie absolument anabsolue. […] D’où – plus ou moins consciente, articulée peu ou prou, par voie sénile ou juvénile, dans la lumière ou dans la ténèbre – l’interrogation à laquelle nul être pensant, sans doute, ne saurait échapper : Comment obtempérer à cette Anankè de la Raison sans se perdre. Ou plus exactement : Comment se fondre sans fondre. Ni s’effondrer. » –> Sommaire (.PDF) –> Présentation de l'ouvrage (.PDF) [sf_button colour="accent" type="standard" size="standard" link="https://www.mimesisebookstore.it/it/products/hegel-6c4061fb-38db-408f-93e9-c0e68374604d" target="_blank" icon="" dropshadow="no" rounded="no" extraclass=""]Version numérique[/sf_button]
    30,00
  • Jean Renoir et la pensée des cinéastes

    La première somme consacrée au cinéma de Jean Renoir. De ses débuts, aujourd’hui lisibles en leurs prémisses, jusqu’au dernier film, dont aucune étude aucune n’avait encore été entreprise. Dans un souci constant de fidélité aux images et aux sons, l’ouvrage éclaire les choix esthétiques du cinéaste en leur constant renouvellement. Et les mets en relation avec ceux d’autres cinéastes. « On ne peut faire de bon cinéma sans une forte philosophie personnelle », disait Renoir. Une philosophie qui est ici mise au jour, dans ses relations avec nombre de penseurs et de philosophes, des présocratiques à André Comte-Sponville. Elle éclaire ce qui fait problème aujourd’hui : le fond de cruauté propre à l’humanité, son incapacité à prévoir l’avenir, son besoin jamais assouvi de domination. –> Sommaire (.PDF)
    24,00
  • Un contenu sans contenant

    S’offrant comme une alternative à la croyance ou comme une manière de « s’en sortir » pour les athées, ce livre propose une singulière ontologie des sciences, dont le dessein vise à montrer que la notion de non-être n’a de réalité que pour les autres, jamais pour soi-même. A la manière de l’Univers de Stephen Hawking qui se contiendrait luimême, l’existence de chacun ne serait pas contenue par quelque chose ; rien ne l’aurait précédé, ni ne lui succéderait. –> Sommaire (.PDF)
    22,00
  • Formes et expériences temporelles

    Une quête esthétique commune semble unir les cinéastes aussi différents qu’Andreï Tarkovski, Kira Mouratova et Andreï Zviaguintsev : l’élaboration d’une image cinématographique modelée par le temps autant dans sa matérialité filmique que dans sa puissance métaphorique. Au cœur de cette quête, la notion de kinoobraz, théorisée par Andreï Tarkovski et traduite par « image cinématographique ». –> Sommaire (.PDF)
    22,00
  • Cinéma, marxisme, matérialisme

    Cet ouvrage collectif se propose de sonder, à l’aune des recherches menées au cours des dernières années dans le cadre des études cinématographiques et audiovisuelles, les relations entretenues par le cinéma avec le marxisme, envisagé comme une compréhension critique du spectacle des images animées. –> Sommaire (.PDF)
    36,00