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Les idées sensibles sont le fonds ardent de toute expérience. Elles prennent aussi bien la forme du tableau, du poème ou de la photographie que des jeux vivants avec l’apparaître. Elles se confondent avec un feu de broussailles, le rire de Polichinelle, la flânerie des muses, l’effacement d’une fresque… Le moment esthétique n’attend pas le Dimanche de la vie. Il n’est pas une récapitulation dans le concept. Il ne cesse d’arriver. S’il fallait lui réserver un jour, ce serait plutôt le Vendredi. Le Vendredi, c’est le jour de Vénus, Veneris Dies. Il a lieu tous les jours. C’est le Vendredi de l’exister.
Les idées sensibles sont le fonds ardent de toute expérience. Elles prennent aussi bien la forme du tableau, du poème ou de la photographie que des jeux vivants avec l’apparaître. Elles se confondent avec un feu de broussailles, le rire de Polichinelle, la flânerie des muses, l’effacement d’une fresque… Le moment esthétique n’attend pas le Dimanche de la vie. Il n’est pas une récapitulation dans le concept. Il ne cesse d’arriver. S’il fallait lui réserver un jour, ce serait plutôt le Vendredi. Le Vendredi, c’est le jour de Vénus, Veneris Dies. Il a lieu tous les jours. C’est le Vendredi de l’exister.
Mylène Duc docteur des universités, enseigne l’Esthétique à l’Université Paul Valéry Montpellier III où elle est chercheur associé au laboratoire CRISES. Elle a publié, entre autres, dans les revues Figures de l’art, Les Cahiers Traversants et L’Infini. Elle poursuit autrement son chemin de pensée par le biais de la peinture et du poème.
Information complémentaire
ISBN | 9788869762598 |
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Date de parution | 2021 |
Pages | 124 |