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49-96 of 452 products

  • Perception et apparition du monde

    C’est aujourd’hui devenu une évidence, tant en philosophie qu’en sciences cognitives : le monde est quelque chose dont nous – « sujet percevant » – faisons « l’expérience », quelque chose qui apparait « à notre conscience », et à quoi la perception, d’une façon ou d’une autre, nous « donne accès ». Cet ouvrage, marqué par la radicalité du geste phénoménologique, se propose de déconstruire ce truisme subjectiviste, et développe une nouvelle approche – narrative et dramaturgique – de l’apparaître perceptif centrée sur les concepts d’histoire et de situation. Le sujet, par la perception, n’« accède » pas au monde, il n’en prend pas connaissance ou « conscience ». La perception raconte une histoire, qu’elle porte au phénomène. Le « sujet » – comme n’importe quel apparaissant – fait partie de cette histoire, en constitue même le principal « objet ». C’est par ce modus operandi – cette opération de mise en situation narrative – que la perception assure sa fonction de présentation, fait apparaitre le monde et nous y introduit. –> Sommaire (.PDF)
    30,00
  • L’histoire sans fin de la fin de l’Histoire, de la fin de l’art et de son histoire

    Depuis bien longtemps philosophes et historiens de l’art, essentiellement en Occident, ont réfléchi sur une même problématique : la fin de l’histoire, et la fin de l’art. Ces deux moments ne sont pas toujours traités ensemble, mais ils ne peuvent être pensés séparément, même s’il faut les distinguer. De nombreux auteurs ont d’ailleurs souvent compris et interprété l’un par l’autre. –> Sommaire (.PDF)
    24,00
  • Objets vivants 2

    L’humain doit-il continuer à se penser comme étant la mesure de toute chose, sous l’emprise – encore et toujours – d’un fantasme de toute-puissance ? Peut-il encore se considérer comme le maître du vivant ? Ou, peut-être, pouvons-nous envisager le dépassement de l’irréductible opposition entre vivant et objet, en prenant en considération des connexions immanentes entre matière et vie ? –> Sommaire (.PDF)
    22,00
  • Pouvoir destituant

    Qu’est-ce que le pouvoir destituant ? Le pouvoir destituant est une notion ouverte, fatalement ambiguë, insaisissable et destinée à se former au fur et à mesure des événements. Il défait la souveraineté, les hiérarchies, les formes de possession, les relations cimentées par la nécessité, il dynamite toutes les identités, même celles qui font de la différence, sans le savoir, leur identité. –> Sommaire (.PDF)
    20,00
  • Cartes invisibles

     « Invisible il y a bien dans la carte, toujours, comme du reste dans toute image : un invisible fondamental qui en déconstruit l’illusoire transparence, un invisible paradoxal aussi, s’agissant d’un objet dont la nature même est de montrer. Toutefois, si ce paradoxe est l’apanage de toute carte, il en est de nature particulière qui redoublent ce jeu d’équivoque entre clarté et opacité de l’image. » 
    C’est ce paradoxe cartographique que le présent ouvrage entend interroger, à travers le prisme de la littérature et du cinéma. Aux cartes proprement invisibles – restées dans les coulisses de la création – répond l’invisibilité caractérisant l’image qu’est la carte en tant que telle : ses zones d’ombre, ses points aveugles, parfois sciemment orchestrés à des fins politiques. Mais à tout pouvoir, son contre-pouvoir, comme le montre l’émergence récente d’une cartographie alternative et engagée visant à rendre justice à des acteurs ou à des phénomènes invisibilisés par le corps social. Les quatorze contributions composant ce volume explorent ainsi les différentes facettes (géographiques, esthétiques, politiques) de l’énigme posée au regard par ce qui, dans l’image censée capturer le réel, se dérobe à elle.
    –> Sommaire (.PDF)
    26,00
  • Devenir hétéronomes

    La volonté d’imaginer les mondes de l’après-modernité dans le contexte actuel de désastre écologique n’est pas nouvelle. Il est rare, pourtant, qu’elle se hasarde à contester le rêve d’émancipation et d’autonomie du sujet moderne, quand elle ne cherche pas à le préserver à tout prix. –> Sommaire (.PDF)
    12,00
  • Projet de système philosophique

    Dans ce premier des sept volumes des Essais philosophiques, publié au Japon en 1935, Nishida procède à l’établissement d’un système philosophique qui décrit avec une précision remarquable la structure du monde de la réalité historique, c’est-à-dire la structure du monde dialectique. Celui-ci est le fondement permettant de comprendre la nature de l’expérience, des sciences et de la société. L’intérêt principal de ce volume par rapport aux précédents réside dans le fait que, dans le but d’exposer sa pensée de manière ordonnée, concise et d’en faciliter l’accès, Nishida fournit ici une série « d’explications schématiques » qui illustrent de manière extrêmement précise le contenu philosophique exposé. –> Sommaire (.PDF)
    22,00
  • L’éthique de l’intelligence artificielle expliquée à mon fils

    Un essai comme un roman. Un dialogue animé entre un père, éthicien de l’IA, et son fils, curieux et passionné. Un soir, à la maison, tout en préparant de délicieuses pâtes, le père et le fils explorent ensemble les thèmes de la confiance et des risques dans le domaine de l’IA, réfléchissant sur la profession à la fois ancienne et innovante d’éthicien. Leur échange est enrichi par l’intervention d’un oncle excentrique, dont l’éloquence étrange et l’approche zen ouvrent de nouvelles perspectives sur la morale. Tous les ingrédients sont réunis, dans un bon équilibre, afin de rendre possible la compréhension des enjeux de l’éthique de l’AI. Et surtout, pour comprendre que la philosophie ne cherche pas à réduire l’incertitude avec des solutions universelles, mais plutôt à naviguer dans cette zone grise, en prenant en compte l’incertitude, sans chercher à la détruire artificiellement. –> Sommaire (.PDF)
    14,00
  • Épistoenologie

    On peut philosopher à tout propos et avec tout. Ce livre propose de philosopher avec le vin, où le « avec » – « ensemble », mais aussi « par » le vin – ouvre à la conscience (cum-scientia) à l’éveil, à la compassion, à la connivence et à la communication. En remettant en question la manière conventionnelle et moderne d’apprécier le vin, basée sur l’analyse sensorielle et la segmentation, à l’imitation de la méthode scientifique analytique, une voie alternative est proposée qui emprunte les chemins d’un relationnalisme radical. Le vin devient ainsi le paradigme d’une expérience relationnelle comme regard de biais, une perception haptique en sympathie avec le monde dans lequel nous sommes immergés. Cette approche sensibilise ainsi l’attention et l’écoute, renforce l’imagination, éduque la perception dans un sens créatif et nous rend responsables des choix que nous faisons. –> Sommaire (.PDF)
    20,00
  • L’exception grecque

    Y a-t-il eu un « miracle grec » ? Les représentations classiques sont complètement dépassées, mais le paradoxe est toujours là : comment une société peu pourvue en ressources naturelles a-telle pu mettre en place aussi vite ce qui allait être le socle de l’Occident ? La brièveté du « miracle » occulte l’histoire longue qui permet de le comprendre. Dès l’âge du bronze, la Grèce a été le pivot qui a fait entrer le continent européen dans l’histoire. Dans cette mondialisation capitale, les Grecs deviennent les fournisseurs de métal de l’Égypte et du Proche-Orient. C’est en gérant cette activité de technologie et de transports maritimes, alors même que leur terre est très pauvre, qu’ils vont découvrir leur voie singulière, qui va devenir la nôtre. –> Sommaire (.PDF)
    22,00
  • Pédagogie de l’expérience esthétique et de l’expérimentation en art

    L’éducation est au cœur d’un problème politique majeur : comment guider les élèves vers l’autonomie et la réalisation d’eux-mêmes, tout en les menant à agir sur le monde et la vie sociale ? C’est ici que prennent place les théories de l’éducation nouvelle, lesquelles ont pour point commun l’expérience croisée et solidaire de l’enseignant et de l’apprenant, la pratique comme source d’appropriation du savoir et de toute transmission. –> Sommaire (.PDF)
    28,00
  • Claude-François-Parfait Boutin en Inde et aux Mascareignes (1782-1786)

    On s’interroge beaucoup, ces temps-ci, sur deux différents champs historiographiques de la période moderne : d’une part celui de l’histoire de la présence française aux Indes orientales pendant la deuxième moitié du XVIIIe siècle, et d’autre part celui de la rivalité franco-britannique à l’échelle mondiale. –> Sommaire (.PDF)
    22,00
  • La signature

    La musique de « création », parfois appelée musique « d’art » et autrefois identifiée comme musique « savante », traverse une crise profonde. Ce texte se veut à la fois un manifeste, une critique constructive et une réponse possible à la crise identitaire de la musique de recherche. La première partie est une analyse sociologique, systémique, technologique et épistémologique de cette crise que l’intelligence artificielle a accélérée. La seconde partie propose douze pistes pour sortir de cette impasse. –> Sommaire (.PDF)
    40,00
  • Philosophie avec personnages

    La philosophie politique s’en est longtemps tenue à la recherche du meilleur régime possible, sous la forme du traité. Cette histoire prescriptive n’est cependant que la plus visible. À côté des concepts abstraits et généralisants, une tendance plus discrète existe, qui incarne la théorie. Les fictions politiques sont une clef pour qui ne veut pas en rester à l’analyse des strates institutionnelles. Loin d’être un simple réservoir d’exemples et de cas, le fictionnalisme politique a une fonction épistémique. Mythes, fables, incursions littéraires sont la matière d’une réflexion qui analyse autant qu’elle invente le politique. L’imagination philosophique utilise des personnages conceptuels, qui introduisent à la singularité et à la nuance. L’île, le partisan, Robinson Crusoé ou Benito Cereno, mais aussi Lénine ou Lawrence d’Arabie, peuplent le protagonisme de Haim Burstin, le politique selon Carl Schmitt, le Léviathan de Carlo Ginzburg, l’agora par Hannah Arendt ou le droit de la guerre de Michael Walzer. Cette perspective renouvelle la question du réalisme politique et met en lumière ce que la philosophie doit aux images et à la création. –> Sommaire (.PDF)
    22,00
  • Science et conscience

    Les femmes et les hommes qui ont choisi la science comme but de leur vie aiment se penser totalement libres d’obligations vis-à-vis de la société. Au point de vue moral, ils considèrent la science comme une valeur en elle-même et, de ce fait, neutre en ce qui concerne ses implications sociales et ses conséquences éthiques et politiques. Dans l’antiquité, on sait qu’Archimède a participé à la résistance de Syracuse, lors du siège des Romains, en concevant ses « miroirs de feu ». Mais après la capitulation, il a brûlé les notes où il avait consigné le mode de fabrication de son invention. En revanche Enrico Fermi, dès qu’il parvient à la scission contrôlée de l’atome, débarque à Chicago et télégraphe au Président des États-Unis : « Le navigateur italien est arrivé. Il attend instructions ». La neutralité morale et sociale de la science est évidemment impossible. Il se peut que, après Hiroshima et Nagasaki, les « Dissenting Colleges » se multiplient. À l’heure actuelle, l’humanité n’a pas d’assurance contre son anéantissement. –> Sommaire (.PDF)
    10,00
  • Le royaume des ombres

    La philosophie classique allemande s’est souvent interrogée sur la ligne de partage entre l’occulte et le visible, en mettant à l’œuvre les concepts de « royaume des ombres » (Schattenreich) et de « royaume des esprits » (Geisterreich). Ce livre retrace les permanences et les variables d’une ligne textuelle « mineure » qui s’est déroulée dans la pensée du XIXe siècle. À cette généalogie appartient aussi l’interprétation psychanalytique des figures diaboliques et des fantasmagories, considérées par Freud comme expressions de l’inquiétante étrangeté de la mort dans son rapport paradoxal avec la vie. La déconstruction de ce réseau met en lumière une « logique de la revenance » qui structure le discours philosophique de la Klassik et de la psychanalyse. Cette logique conduit à la définition de la « spectralité » comme l’entrelacs du visible et de l’invisible, et explique son rôle crucial dans l’esthétique moderne. –> Sommaire (.PDF)
    24,00
  • Le cinéma taiwanais

    Peut-il exister un cinéma national pour une nation qui n’est pas reconnue comme telle ? C’est la question à laquelle cet ouvrage se propose de répondre, dans le cas de Taiwan. Une île où le cinéma a été importé dans un contexte de colonisation par le Japon (1895-1945), où il s’est par la suite développé, après-guerre, sous le contrôle d’un gouvernement autoritaire, nouvellement arrivé, celui des nationalistes chinois menés par Chiang Kai-shek. Comment, alors, appréhender le cinéma taiwanais ? –> Sommaire (.PDF)
    20,00
  • Gorgias

    « Gorgias est celui qui a définitivement caractérisé, au moins dans ses lignes essentielles, notre style. De même que la tragédie grecque constitua le moule définitif dans lequel pour ainsi dire se cristallisa l’art dramatique […], de même la forme essentiellement gorgienne d’articuler la pensée est devenue le moule définitif et intangible dans lequel la pensée occidentale s’est jusqu’à maintenant formée. »« Gorgias est celui qui a définitivement caractérisé, au moins dans ses lignes essentielles, notre style. De même que la tragédie grecque constitua le moule définitif dans lequel pour ainsi dire se cristallisa l’art dramatique […], de même la forme essentiellement gorgienne d’articuler la pensée est devenue le moule définitif et intangible dans lequel la pensée occidentale s’est jusqu’à maintenant formée. »

    Avec un essai de Amedeo Vigorelli Édition établie et présentée par Francesca Salvarezza

    –> Sommaire (.PDF)
    15,00
  • Projection/Protection

    La Fantasmagorie de la fin du XVIII e siècle, les palais du cinéma des années 1920 ou encore les images provenant de nos ordinateurs construisent des bulles physiques ou mentales qui nous servent de refuge. Le postulat de Francesco Casetti se veut provocateur : les écrans qui font partie de notre quotidien depuis plus de deux siècles ne sont finalement pas des extensions de notre vue, mais des formes de protection par rapport à un monde qui se révèle constamment menaçant. La nécessité de se détacher du contexte immédiat, au moyen d’une zone de sécurité qui nous rattache à la réalité par le filtre des images, répondrait à ce besoin de défense. Mais protéger signifie aussi étouffer et limiter, et fait souvent ainsi advenir une autre forme de violence. C’est seulement par le biais d’une nouvelle sensibilité, ouverte aux risques du monde, et non contrainte par nos propres peurs, que l’on pourra rétablir un dialogue productif avec la réalité. –> Sommaire (.PDF)
    22,00
  • Sous les remparts de Jérusalem

    Démonisés, différents, expatriés ou enfermés dans des pansde terre meurtrie, les Palestiniens sont apparus au regard des Occidentaux dans le tumulte des évènements, dans un contextede lutte, de résistance active, sinon de véritable guerre. Cemouvement frénétique et effrayant, en revanche, se calme dansles photographies de Tano d’Amico. Elles cueillent l’existence quotidienne de ces hommes, de ces femmes et ces enfants. Tandis que gronde l’Histoire avec sa violence, ses menaces etses dangers, les moments de vie saisis par les clichés de Tanonous apparaissent comme suspendus dans l’instant d’un soupir, et ceci néanmoins pour toujours. Alors que ces hommes, deces femmes et ces enfants sont peut-être morts aujourd’hui. Accompagnées de poésies des plus grands auteurs palestiniens, les photos proposées dans ce livre nous racontent le quotidien, labeauté et la douleur d’un peuple. Une douleur qui est restée troplongtemps ignorée, atrocement accrue chaque jour à présent. –> Sommaire (.PDF)
    13,00
  • L’art en mode emploi

    Ce texte, qui met en relation réflexion théorique et création artistique, entend comprendre pourquoi au cours de la contemplation d’une œuvre d’art notre attention dépasse rarement ses qualités formelles, esthétiques ou conceptuelles. Contrairement à d’autres artefacts que nous rencontrons au quotidien, nous identifions les œuvres d’art au fait qu’elles ne satisfont pas des fins utilitaires. Leur place dans le musée ou la galerie en atteste et conduit à faire en sorte qu’elles n’ont pas d’autre rôle que d’attirer notre attention sur leurs caractéristiques propres. On oppose à ce paradigme un mode de réception qui repose sur l’utilisation. Cela suppose un mode de création basé sur des dispositifs susceptibles d’interpeller l’utilisateur au lieu du spectateur. –> Sommaire (.PDF)
    12,00
  • Jean Renoir et la pensée des cinéastes

    La tâche d’un artiste est de nous démystifier, disait Renoir. De déchirer le voile épais qui sépare le regard humain du monde tel que son art se doit de le révéler. Toute époque a ses silences. A lui de les énoncer. Chez le cinéaste, tout se pense dans la pluralité et la diversité. D’où l’exceptionnelle inventivité de ses derniers films. Tous différents. Remettant en chantier ce qui avait été merveilleusement bâti dans les oeuvres précédentes. D’où leur présentation ici chronologique. Ce troisième et dernier tome réunit toutes les réalisations de la seconde période française de l’auteur. La moins célébrée, la plus méconnue. –> Sommaire (.PDF)
    35,00
  • Le système des universels à l’aune de l’autoéveil

    Le Système des universels à l’aune de l’autoéveil porte sur la série d’universels sur laquelle était centrée la logique de Nishida Kitaro- durant la deuxième période de sa pensée (1923-1932), de même que sur le thème de l’autoéveil qui marque, à des degrés divers, chacun de ces universels. –> Sommaire (.PDF)
    30,00
  • Seconde nature

    L’art préhistorique représente le moment auroral de ce que, avec Hegel, nous pouvons appeler la « seconde nature » : le monde des objectivations de l’esprit qui structurent notre vie sociale, éthique et politique ; celui des institutions, qui façonnent la vie humaine, à partir de la représentation du réel et des productions de la technique, jusqu’aux technologies numériques contemporaines. Comment le passage à cette secondarité a-t-il été possible et comment faut-il comprendre ce dédoublement ? –> Sommaire (.PDF)
    17,00
  • Cosmopolitique de l’agroécologie

    Le Brésil est connu comme géant de l’agronégoce, mais il est aussi un pays exemplaire pour l’agroécologie qui est là-bas un mouvement social large et pluriel. A partir d’une enquête de terrain de deux ans – entre 2017 et 2019 – l’ouvrage propose une plongée dans l’agroécologie brésilienne en suivant le quotidien de trois collectifs liés au principal centre agroécologique du pays, situé au nord du Minas Gerais. –> Sommaire (.PDF)
    28,00
  • Renoir et la pensée des cinéastes

    La première somme consacrée au cinéma de Jean Renoir. De ses débuts, aujourd’hui lisibles en leurs prémisses, jusqu’au dernier film dont aucune étude n’avait été encore menée dans son intégralité. Dans un souci constant de fidélité aux images et aux sons, l’ouvrage éclaire les choix esthétiques du cinéaste en leur constant renouvellement. –> Sommaire (.PDF)
    22,00
  • États d’images

    L’exposition États d’images – instants et intervalles (2005) a été un jalon important dans l’évaluation des rapports entre le mouvement et l’immobilité des images, saisis ici entre leurs deux bords extrêmes : la photographie et le film. Conçues par des artistes de renommée internationale, les douze installations qui en composaient le corps ménagent une gradation subtile entre ces deux bords. Ce sont autant d’impressions subtiles que les auteurs des textes consacrés à chacune des douze œuvres composant l’exposition ont eu à charge d’évaluer. Trop longtemps demeuré inédit, ce catalogue vient ainsi reprendre la place qui aurait dû être la sienne dans l’histoire mouvementée des images. –> Sommaire (.PDF)
    20,00
  • L’assassinat de la rue Danjon

    À la Villette, dans le 19e arrondissement de Paris, un acte de vandalisme dans un magasin juif et la mort d’un rabbin ont jeté le trouble entre les communautés du quartier. La commissaire de police, Martine Sebag, a suivi l’escalade de violence depuis le début : elle vit dans le quartier dont elle connaît bien l’histoire. –> Sommaire (.PDF)
    13,00
  • Dante et les arts performatifs

    Le présent volume étudie la façon dont les textes, la langue, les vers de Dante, et en particulier la Comédie, ont été traduits dans d’autres langages artistiques et, inversement, de quelle manière ces différents langages, modelés par leur propre évolution esthétique au cours des siècles, donnent lieu à des lectures, neuves et inédites, de la poésie dantesque. –> Sommaire (.PDF)
    28,00
  • Pour une pensée sans frontières

    Tenter d’instaurer une pensée sans frontières entre Orient et Occident consiste moins à confronter, selon le modèle de ce qui se nomme aujourd’hui « philosophie comparée », les textes issus de la tradition occidentale à ceux de la tradition orientale qu’à montrer les ressemblances tout autant que les différences entre eux. –> Sommaire (.PDF)
    24,00
  • Cinémas de Bombay

    Ville coloniale et port de commerce international, Bombay devient une capitale mondiale du cinéma dans les années 1930. La « City of Dreams » indienne voit émerger un paysage de salles composé de lieux spectaculaires et d’autres, plus anonymes, où va naître le cinéma comme pratique culturelle populaire et art national. –> Sommaire (.PDF)
    23,00
  • Zéro dièse existe

    Art et mathématiques entretiennent depuis les temps les plus reculés une relation intime comme en témoignent les œuvres de Léonard de Vinci, Béla Bartók, Bernar Venet, Roman Opalka, Manfred Mohr, Ryoji Ikeda, Hollis Frampton, Shigeru Onishi et bien d’autres. On remarque cependant que depuis le milieu des années soixante cette relation a commencé à s’affaiblir et qu’une certaine distance s’est installée entre ces deux champs de la création. –> Sommaire (.PDF)
    18,00
  • Cinéma du corps, cinéma du cerveau

    C’est d’abord à l’aune de la distinction opérée dans L’Image-temps entre « cinéma du corps » et « cinéma du cerveau » que cet ouvrage collectif interroge la pensée deleuzienne du septième art et des images en mouvement. Mais également en la confrontant à la phénoménologie, via la figure de Merleau-Ponty, et son affirmation de la présence irréfragable du corps dans sa considération de l’image filmique, tout comme à d’autres figures et courants de pensée qui ont pu influencer Deleuze quant à sa conception du cerveau et de la tacite spectatorialité aux frontières diffuses qu’elle implique. –> Sommaire (.PDF)
    25,00
  • Hegel

    « Le Système hégélien : un anabsolutisme intégral. Assavoir : une pensée absolue de l’absolu accomplissant une philosophie absolument anabsolue. […] D’où – plus ou moins consciente, articulée peu ou prou, par voie sénile ou juvénile, dans la lumière ou dans la ténèbre – l’interrogation à laquelle nul être pensant, sans doute, ne saurait échapper : Comment obtempérer à cette Anankè de la Raison sans se perdre. Ou plus exactement : Comment se fondre sans fondre. Ni s’effondrer. » –> Sommaire (.PDF) –> Présentation de l'ouvrage (.PDF) [sf_button colour="accent" type="standard" size="standard" link="https://www.mimesisebookstore.it/it/products/hegel-6c4061fb-38db-408f-93e9-c0e68374604d" target="_blank" icon="" dropshadow="no" rounded="no" extraclass=""]Version numérique[/sf_button]
    30,00
  • Jean Renoir et la pensée des cinéastes

    La première somme consacrée au cinéma de Jean Renoir. De ses débuts, aujourd’hui lisibles en leurs prémisses, jusqu’au dernier film, dont aucune étude aucune n’avait encore été entreprise. Dans un souci constant de fidélité aux images et aux sons, l’ouvrage éclaire les choix esthétiques du cinéaste en leur constant renouvellement. Et les mets en relation avec ceux d’autres cinéastes. « On ne peut faire de bon cinéma sans une forte philosophie personnelle », disait Renoir. Une philosophie qui est ici mise au jour, dans ses relations avec nombre de penseurs et de philosophes, des présocratiques à André Comte-Sponville. Elle éclaire ce qui fait problème aujourd’hui : le fond de cruauté propre à l’humanité, son incapacité à prévoir l’avenir, son besoin jamais assouvi de domination. –> Sommaire (.PDF)
    24,00
  • Un contenu sans contenant

    S’offrant comme une alternative à la croyance ou comme une manière de « s’en sortir » pour les athées, ce livre propose une singulière ontologie des sciences, dont le dessein vise à montrer que la notion de non-être n’a de réalité que pour les autres, jamais pour soi-même. A la manière de l’Univers de Stephen Hawking qui se contiendrait luimême, l’existence de chacun ne serait pas contenue par quelque chose ; rien ne l’aurait précédé, ni ne lui succéderait. –> Sommaire (.PDF)
    22,00
  • Formes et expériences temporelles

    Une quête esthétique commune semble unir les cinéastes aussi différents qu’Andreï Tarkovski, Kira Mouratova et Andreï Zviaguintsev : l’élaboration d’une image cinématographique modelée par le temps autant dans sa matérialité filmique que dans sa puissance métaphorique. Au cœur de cette quête, la notion de kinoobraz, théorisée par Andreï Tarkovski et traduite par « image cinématographique ». –> Sommaire (.PDF)
    22,00
  • Cinéma, marxisme, matérialisme

    Cet ouvrage collectif se propose de sonder, à l’aune des recherches menées au cours des dernières années dans le cadre des études cinématographiques et audiovisuelles, les relations entretenues par le cinéma avec le marxisme, envisagé comme une compréhension critique du spectacle des images animées. –> Sommaire (.PDF)
    36,00
  • Ornement, un beau souci

    En s’emparant de la question ornementale, le cinéma s’inscrit dans une réflexion reliant les territoires disséminés de l’art, au-delà de l’opposition entre les beaux-arts, les arts décoratifs et le design. La pensée de l’ornement au cinéma ne relève pas de l’évidence, tant il est vrai que le discours critique est marqué par un phénomène de marginalisation. –> Sommaire (.PDF)
    29,00
  • Foucault et la guerre

    Cet essai est consacré aux analyses de Michel Foucault sur la guerre, un sujet qui n’a pas toujours reçu l’attention qu’il mérite et qui joue pourtant un rôle déterminant dans l’œuvre de l’auteur. Les réflexions de Foucault sont ici mises en relation avec celles de Carl Schmitt – une comparaison rarement établie, et sur laquelle la littérature critique reste encore faible aujourd’hui. –> Sommaire (.PDF)
    18,00
  • Pour une Poétique du Sensible

    Le langage peut-il exprimer l’expérience sensible comme forme inaugurale du rapport aux choses et aux autres ? Comment restituer linguistiquement les formations et transformations changeantes du monde, sa configuration en unité de sens ? Selon la phénoménologie pratiquée par Merleau-Ponty, Ricoeur, Dufrenne et Maldiney, il y a une différence inéluctable, mais en même temps un lien possible, entre le domaine du réel, qui dans son devenir phénoménal nous surprend toujours, et celui du langage, même dans ses formes les plus abstraites. –> Sommaire (.PDF)
    23,00
  • Arte Povera

    Ce recueil de textes propose une réflexion sur le courant artistique italien Arte Povera, pour la période de 1967 – date de la première apparition de la dénomination – à 1971, année de la fin du mouvement sur décision du critique Germano Celant. En refusant la théorisation de son travail, cette néo-avant-garde semblait pouvoir se redéfinir à travers des codes rendant aléatoire tout processus d’historicisation et de définition de l’art en termes de patrimoine. Il est pourtant fondamental de saisir la complexité des démarches issues de ce mouvement ainsi que sa dimension collective afin d’en établir la possibilité d’une nouvelle historicisation, sans pour autant trahir son esprit anti-institutionnel. L’usage critique de la notion de mémoire qui peut être étudiée dans le contexte de l’Arte Povera – et qui n’a pas encore fait l’objet d’une étude systématique – constitue le fil rouge du parcours transdisciplinaire qui a conduit à cet ouvrage. –> Sommaire (.PDF)
    24,00
  • La révolution de l’authenticité à l’âge du romantisme

    Le romantisme fut le théâtre d’un culte du moi et de l’originalité sans précédent. Une apologie du héros et du grand homme qui conduisit, à la fin du XIX e siècle, au dandysme. On y prôna comme jamais auparavant la hardiesse d’exprimer ce que l’on est, défiant les canons de la morale et les conventions de la société. L’époque romantique fut aussi celle où l’idée de vérité entra en crise, où la science éveilla de plus en plus le scepticisme, où fleurirent de nouvelles variétés de relativisme et d’historicisme : la vérité déclinant, la sincérité tendit à en prendre la place. Cet ouvrage cherche à cerner les grands traits de cette « révolution de l’authenticité » dans la pensée, la littérature, la société, et à en questionner les présupposés. Il poursuit ainsi l’étude entreprise dans Être soi-même afin de cerner la nature d’un des idéaux les plus paradoxaux de notre temps. –> Sommaire (.PDF)
    30,00
  • De l’idéologie à l’Idée

    Depuis la fin des années 1990, la réflexion philosophique d’Alain Badiou s’oriente vers le thème de l’Idée, associée à la dialectique absolue de l’universalité créatrice. Quel est le rapport entre le rôle de la philosophie et les fameuses quatre procédures de vérité ? Pourquoi choisir de revenir sur la thématique de l’Idée dans le cadre d’une nouvelle dialectique « matérialiste » ? Ce livre essaie de répondre, sous forme d’entretien, à toutes ces questions en apportant un éclairage sur les débuts de l’activité philosophique d’Alain Badiou, marqués par les débats qui animaient le groupe des Cahiers pour l’analyse dans les années 1960. L’analyse des concepts d’idéologie et de dialectique permettra de reconstruire la généalogie de l’œuvre badiousienne. –> Sommaire (.PDF)
    10,00
  • Critique de la raison animiste

    Ce livre est consacré au retour de l’animisme, vu comme catégorie d’origine coloniale et comme une notion commune à un certains courants de pensée en vogue en Afrique et à l’extérieur de ce continent : afrocentrisme, afro-futurisme, panafricanisme. Il ne s’agit pas ici de faire la généalogie ou l’archéologie de ces différents thèmes, mais au contraire de montrer comment ils constituent le soubassement intellectuel de l’animisme politique, tendance qui inspire la redéfinition de la politique franco-africaine telle qu’elle est menée actuellement. –> Sommaire (.PDF)
    15,00
  • De la fin

    Le philosophe Alain Badiou, en dialogue avec Giovanbattista Tusa, propose ici d’abandonner la thèse heideggérienne d’une unité destinale de la philosophie, sous le nom de métaphysique. Plutôt que d’affirmer qu’il n’y a pas de vérité, il s’agirait alors de reconstruire une relation entre les vérités et un absolu non transcendant. En menant une critique radicale de la doctrine de la finitude, qui nous rappelle que l’être humain est mortel et qui affirme le relativisme culturel et le caractère inachevé de tout accès au vrai, le philosophe entend ainsi montrer comment le concept d’infini serait la condition des vérités universelles.

    Nouvelle édition augmentée

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    13,00
  • Philosophies de Vilém Flusser

    Vilém Flusser (1920-1991), mérite, comme aucun autre penseur contemporain, le terme de « transculturel ». Fuyant le nazisme, le penseur tchèque émigre au Brésil en 1940, où il demeurera jusqu’en 1972, puis de 1972 à 1991, il résidera dans le sud de la France. Écrivant en quatre langues (allemand, anglais, français, portugais), son œuvre est considérable par la diversité de ses expressions linguistiques, mais aussi par ses innombrables intérêts toujours considérés sous l’angle philosophique – comme on pourra le constater à travers les traductions françaises de ses essais –, et dont le présent volume aborde quelques facettes et thématiques. –> Sommaire (.PDF)
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  • L’éthique de l’intelligence artificielle

    Éducation, commerce, industrie, voyages, loisirs, santé, politique, relations sociales… la vie semble devenue inconcevable sans les technologies, les services et les produits numériques. Cette transformation de notre époque induit des doutes et des préoccupations, mais aussi d’extraordinaires opportunités. Nous avons encore, parce que la révolution numérique n’en est qu’à ses débuts, la possibilité de la travailler dans un sens positif, au bénéfice des hommes et de la planète. –> Sommaire (.PDF)
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