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Art et mathématiques entretiennent depuis les temps les plus reculés une relation intime comme en témoignent les œuvres de Léonard de Vinci, Béla Bartók, Bernar Venet, Roman Opalka, Manfred Mohr, Ryoji Ikeda, Hollis Frampton, Shigeru Onishi et bien d’autres. On remarque cependant que depuis le milieu des années soixante cette relation a commencé à s’affaiblir et qu’une certaine distance s’est installée entre ces deux champs de la création.
Art et mathématiques entretiennent depuis les temps les plus reculés une relation intime comme en témoignent les œuvres de Léonard de Vinci, Béla Bartók, Bernar Venet, Roman Opalka, Manfred Mohr, Ryoji Ikeda, Hollis Frampton, Shigeru Onishi et bien d’autres. On remarque cependant que depuis le milieu des années soixante cette relation a commencé à s’affaiblir et qu’une certaine distance s’est installée entre ces deux champs de la création. L’auteur nous emmène à la découverte des raisons de cette bifurcation entre art et mathématiques à l’ère postmoderne, et identifie un suspect principal : l’infini. Il s’inspire pour cette enquête de la pensée du philosophe Alain Badiou, en particulier du concept d’inesthétique, nouage original entre art et pensée centré sur ceux d’être, d’événement, de vérité, de sujet et … d’infini.
Information complémentaire
ISBN | 9788869763960 |
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Date de parution | 2024 |
Pages | 136 |
Préface | Giovanni Minozzi |
Entretien avec Michel Verlinden, 2024
“Artet mathématiques se sont heurtés à la question du fondement”
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