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En remettant en cause les critères fixes couramment employés pour définir l’Occident, comme la géographie, la démocratie, le droit, la langue, la religion ou la « race », l’auteur en propose un dynamique : l’Occident désignerait la capacité psychologique de faire progresser les cadres de la connaissance et de les intégrer dans la société.
En remettant en cause les critères fixes couramment employés pour définir l’Occident, comme la géographie, la démocratie, le droit, la langue, la religion ou la « race », l’auteur en propose un dynamique : l’Occident désignerait la capacité psychologique de faire progresser les cadres de la connaissance et de les intégrer dans la société. Il serait donc un processus de la critique philosophique et scientifique, qui veut s’approcher de la vérité, en affinant ses lois à vocation universelle. Dans un mouvement permanent de la technologie, de la démocratie, de l’économie, du droit, de l’art, etc., avec un style clair, accessible aux non-spécialistes, l’auteur se demande enfin si cet Occident dynamique est universalisable et souhaitable pour l’humanité.
Sylvain Bosselet agrégé de philosophie, docteur en psychologie, ancien directeur de séminaire au Collège International de Philosophie, auteur de Métapsychologie de la métaphysique (Matériologiques, 2015), Je pense donc je jouis (Max Milo, 2014), On ne parle pas de politique à table ! (Bréal, 2011).
Information complémentaire
ISBN | 9788857527352 |
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Date de parution | 2015 |
Pages | 120 |