Les relations entre les deux arts du temps et du mouvement, cinéma et danse, ont déjà fait l’objet de divers travaux, mais le plus souvent dans la perspective des croisements disciplinaires habituels : distinguer ce qui relève du cinéma ou de la danse, affirmer la primauté de l’un-e sur l’autre, voire subordonner l’un-e à l’autre ou évaluer les gains et les pertes (ce que le cinéma y gagnerait, ce que la danse y perdrait).