La philosophie ne s’est guère montrée favorable au plaisir. Que tout plaisir soit un bien, ainsi que le prétend Epicure, apparaît difficilement soutenable. Aussi débouchons-nous sur une aporie : si le plaisir ne peut être pris pour guide, en lui se dévoile la fin ultime de toutes nos actions et de nos existences. Cette problématique apparaît pour nous, modernes, fondamentale.